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DEVOIR DE PSYCHOLOGIE CLINIQUE et PSYCHOPATOLOGIE

DEVOIR DE PSYCHOLOGIE CLINIQUE ET PATHOLOGIQUE


1) Citez les règles de base des techniques en psychologie clinique.

Les règles de base des techniques en psychologie clinique sont :
- but : atténuer la souffrance
- moyen : garantir au patient de pouvoir suivre sa démarche thérapeutique
- critère : la théorie sur laquelle elle repose.



2) Il vient de se produire un terrible accident de la route sur le boulevard périphérique de Caen. Les pompiers sont déjà sur les lieux et le plan rouge est donné. Une cellule psychologique arrive et prend en charge les blessés rescapés.

A) Quelle technique d'entretien les psychologues vont-ils appliquer ?

Les psychologues vont employer la technique de l'entretien de crise.

B) Quelle maladie mentale risquent de développer les rescapés de ce terrible accident ?

Les rescapés de ce terrible accident risquent de développer un trouble de la personnalité.

3) Une femme âgée de 75 ans est adressée par son médecin traitant au service de neurologie du Centre Hospitalier de Perpignan. D'après le courrier, cette personne aurait des pertes progressives de la mémoire : elle a aussitôt tenté de joindre son fils au téléphone pour le prévenir qu'un voleur s'était introduit chez elle.
A) A quelle maladie mentale vous fait penser la description des symptômes de cette patiente ?

La description des symptômes de cette patiente me fait penser à la maladie d'Alzheimer.

B) La psychologue reçoit la patiente. Quelle technique d'entretien va-t-elle utiliser ?

La technique d'entretien que va utiliser la psychologue est l'entretien de première intention.

C) Quelle sera la procédure d'évaluation de la psychologue ? La patiente lui dit que tout va très bien et qu'elle n'est pas malade.

La procédure d'évaluation de la psychologue sera d'effectuer un QI.

D) Quel terme utilise-t-on pour signifier cette attitude de la patiente ?

Le terme qu'on utilise pour signifier cette attitude de la patiente est psychose.


E) Quelles techniques thérapeutiques la psychologue va-t-elle propose à la patiente et à son fils ?

La psychologue va utiliser les techniques :
- Des prothèses amnésiques : cette technique fait tenir aux patients un carnet de bord où ils notent tous ce qui font.
- L'adaptation à l'environnement : c'est une analyse fine du mode de vie.
- La procéduralisation : c'est une organisation très régulière et ordonnée de sa vie donc c'est la mise en place d'un emploi du temps.
- Le soutien psychologique auprès patient.
- Le soutien psychologique auprès de la famille.


4) En présentant votre réponse sous la forme d'un tableau, citez le ou les symptôme(s) commun(s) aux névroses et le ou les symptôme(s) commun(s) aux psychoses.

Névrose Psychose

Symptôme(s) commun(s) - Anomalies de l'activité sexuelle
- Des troubles du sommeil
- Asthénie
- Angoisse
- Des troubles hypocondriaques
- Des troubles du comportement alimentaire
- Agressivité
- Inhibition - le délire


5) Quels sont les deux ordres de troubles qui caractérisent le trouble obsessionnel compulsif. Décrivez-les.

Les deux ordres de troubles qui caractérisent le trouble obsesionnel-complusif sont les obsessions et les compulsions. Les obsessions sont des idées qui s'introduisent dans la pensée de la personne qui en reconnaît l'absurdité. Mais, elle ne peut pas sans débarrasser. Les compulsions sont des comportement répétitifs, stricts, stéréotypés et excessifs.


6) Définissez brièvement l'anorexie mentale.

L'anorexie mentale : c'est une maladie mentale dont l'objet est de refuser toute alimentation car elle n'aime pas son corps et son image.


7) Madame LOUIS est une femme âgée dune quarantaine d'années. Chaque année, vers la fin de l'été, elle ressent de la fatigue, elle n'a le goût à rien. Elle dort plus que d'habitude. Au restaurant de son entreprise, elle prend toujours un dessert, de préférence un éclair au chocolat ou une religieuse au chocolat, et laisse de coté tout fruit.
A) Qu'arrive-t-il à Madame LOUIS à la même période chaque année ?

Il arrive que Madame LOUIS fait une dépression saisonnière.

B) Quels sont les signes qui vous poussent à donner votre réponse ?

Les signes qui me poussent à me dire que c'est une dépression saisonnière sont que Madame LOUIS à de l'asthénie, elle dort plus, mange plus sucré, plus d'énergie. Et cette dépression touche plus les femmes que les hommes.

C) Que devrait-elle faire pour éviter que cela se reproduise l'année suivante ?

Madame LOUIS devrait faire des séances de photothérapie pour que ça ne se reproduise pas l'année suivante.


8) Comment reconnaît-on une personne paranoïaque ?

On reconnaît une personne paranoïaque car elle est méfiante, n'a pas de scrupule, soupçonneuse, humiliante, malveillante, rancunière et agressive. Mais elle a tendance à manipuler et à mépriser les autres.

9) Pourquoi existe-t-il autant de spécialités en psychologie ?

Il a autant de spécialités en psychologie car il y a différents comportements humains et différentes études (biologie, pathologie et sociale)





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#Posté le vendredi 16 novembre 2007 07:08

DICTIONNAIRE PSYCHOLOGIE / PSYCHANALYSE


aboulie
Trouble caractérisé par la difficulté qu'éprouve le sujet à agir efficacement, sans aucune lésion des organes moteurs. Elle peut être systématisée (limitée à certains actes) ou généralisée. Fréquente dans la neurasthénie et l'hystérie

abréaction
Libération d'un refoulement par décharge émotionnelle

acte manqué
Acte incomplètement ou imparfaitement accompli (maladresse physique, lapsus, erreur). Selon Freud, les actes manqués sont révélateurs de sentiments mal refoulés. Un sujet dans une situation normale, commet environ 1 lapsus pour 900 mots prononcés. Au delà, le lapsus peut être révélateur, par exemple, de fatigue, d'intimidation, ou de quelque autre trouble

adrénaline
Hormone et neurotransmetteur sécrétée par les glandes surrénales qui permet à l'organisme de s'adapter aux agressions extérieures

affect
Emotion liée à satisfaction d'une pulsion qui, si elle est refoulée, se transforme en angoisse ou entraîne un symptôme névrotique

affectivité
Faculté regroupant les phénomènes affectifs (sensations, sentiments, impressions...)

age mental
Utilisé par Binet pour le premier test d'aptitudes intellectuelles des enfants. Age moyen d'un groupe de sujets qui a les mêmes aptitudes que l'enfant testé. Un enfant peut donc avoir l'âge de 8 ans et un âge mental de 10 ans

agent psychoactif
Substance chimique qui influe sur l'activité mentale (drogues)

agnosie
Trouble de la reconnaissance des objets due à une lésion cérébrale.

agoraphobie
Peur irrationnelle des endroits non familiers, des espaces ouverts, publics, et de la foule

aire de Broca
Partie du télencéphale qui contrôle la production du langage

alcoolisme
Intoxication par l'alcool. L'alcoolisme chronique est considéré comme toxicomanie et provoque des perturbations psychologiques graves avec dépendance et complications neurologiques (polynévrite, encéphalopathie...)

aliénation mentale
Expression utilisée dans le vocabulaire juridique et non psychologique pour décrire l'état psychologique d'une personne, incapable de faire la distinction entre le bien et le mal et souvent considérée comme non responsable de ses actes

allopathie
Médecine classique, employant des médicaments tendants à contrarier les symptômes du trouble,

amnésie
Perte totale ou partielle de la mémoire. PLusieurs formes possibles : Amnésie (perte des souvenirs), Agnosie (trouble de la perception), aphasie (trouble de la fonction du langage)

amnésie antérograde
Perte de mémoire entraînant une incapacité à acquérir de nouvelles connaissances se rapportant à la vie quotidienne

amnésie posthypnotique
Oubli des événements qui se sont déroulés durant la séance d'hypnose , à la suggestion de l'hypnotiseur. Celui-ci peut toutefois les rappeler par un signal

amnésie rétrograde
Perte de mémoire des événements qui ont précédé soit une blessure soit une maladie qui a atteint le cerveau

amorphe
Voir : caractérologie

amphétamines
Excitant du système nerveux central, qui augmente les capacités physiques et psychiques de l'individu

analyse factorielle
Technique statistique fondée sur un calcul de corrélations. En soumettant un groupe de sujets à un grand nombre de mesures on peut ensuite calculer les corrélations possibles entre les paires de mesures. On peut ainsi identifier des "facteurs", qui font appel à un construit spécifique

anamnèse
Du grec "commémoration". Ensemble des informations fournies par l'interrogation d'un sujet sur son vécu, qui permettent d'appréhender le déroulement de sa maladie et l'établissement d'un diagnostic

anorexie mentale
Perte de l'appétit. Maladie mentale caractérisée par un désir pathologique de ne pas prendre de poids. Physiologiquement, l'anorexie mentale est souvent accompagnée d'un arrêt des menstruations, d'une perte du volume musculaire et d'une prédisposition aux infections.

antidépresseurs
Groupe de médicaments qui combattent les états dépressifs en réduisant la sévérité de la dépression unipolaire. Ils permettent en effet d'augmenter la quantité des neurotransmetteurs sérotonine et noradrénaline dans le cerveau. Pour les sujets souffrants de trouble bipolaire, les antidépresseurs s'avèrent inefficaces

antipsychotiques
Médicaments qui bloquent les récepteurs de la dopamine dans le cerveau, contrôlent les symptômes de la schizophrénie. Ces médicaments sont connus sous le nom de "neuroleptiques" ou "tranquillisants majeurs"

anxiété
Etat émotionnel caractérisé par des symptômes psychologiques tels que la nervosité, l'indécision, une peur inexpliquée, et physiques (essoufflement, tremblements, nausée, palpitations cardiaques)

anxiolytiques
Médicaments de la famille des benzodiazépines destinés à réduire l'anxiété. Ils sont aussi connus sous le nom de "tranquillisants mineurs"

aperception
Capacité à percevoir d'après ses expériences individuelles antérieures, son vécu

aphasie
Perturbation du langage due à une lésion cérébrale, sans atteinte fonctionnelle de la langue et du pharynx. Il en existe 2 grands types : l'aphasie motrice dite de Broca, et l'aphasie sensorielle dite de Wernicke correspondant à des localisations différentes de ces lésions.

apnée du sommeil
Arrêt plus ou moins long de la respiration au cours du sommeil

apprentissage
Modification du comportement résultant d'expériences répétées. A distinguer des modifications de comportement résultant de la maturation comme le développement de la marche
apprentissage associatif
Catégorie d'apprentissage étudiée en particulier par les béhavioristes consistant à associer deux stimuli ou à associer un stimulus et une réponse (conditionnement classique et le conditionnement opérant)

apprentissage lié à l'état
Le rappel d'informations semble plus efficace si l'organisme est placé dans le même état psychologique ou physique qu'au moment de l'apprentissage

apraxie
Incapacité d'effectuer des mouvements coordonnés ou définis

archétype
Contenu de l'inconscient collectif qui apparaît dans la production culturelle d'un peuple (mythes et contes par exemple), ou dans l'imaginaire d'un sujet. Cette théorie est due à Jung

association libre
Technique pratiquée par Freud pour dévoiler les sentiments inconscients de ses patients en lui demandant de dire tout ce qui peut lui venir à l'esprit

asthénie
Faiblesse psychique qui ne résulte pas d'un manque de force musculaire

ataxie
Incoordination des mouvements

autisme
Le sujet, coupé du monde extérieur, oriente sa vie mentale sur son propre psychisme et présente des attitudes incompréhensibles pour son entourage

automatisme
Comportement qui échappe à la volonté ou à la conscience réfléchie.

béhaviorisme
Ecole de psychologie fondée par le psychologue américain J.B. Watson, qui considère qu'on doit étudier les comportements observables plutôt que les processus mentaux qui se déroulent dans le cerveau. Le béhaviorisme rejette par conséquent toute introspection

bouffée délirante
Apparition soudaine d'un délire. Elle peut faire suite à un épisode traumatisant comme un deuil, un échec

boulimie
Maladie mentale caractérisée par des crises de gavage suivie de tentatives d'évacuer l'excès de nourriture par vomissement.

brainstorming
Technique de recherche collective d'idées

bulbe rachidien
Partie du cerveau qui contrôle certaines fonctions vitales, comme la respiration et certains réflexes

ça
Une des trois structures psychiques avec le moi et le surmoi, qui constituent la personnalité selon la théorie psychanalytique. Le ça, présent dès la naissance, est constitué des pulsions biologiques telles que l'agressivité ou la sexualité

caractérisation sexuelle
Ensemble des comportements qu'une culture donnée accepte comme "convenable" pour les hommes et les femmes

caractéristiques sexuelles secondairesCaractéristiques corporelles qui apparaissent à l'adolescence

caractérologie
Etude du caractère fondée par Heymans et Wiersma et reprise par Le Senne ou Berger. La caractérologie distingue 8 types principaux combinants 3 caractéristiques : émotivité, rétentivité, activité. Les 8 types de caractères sont :

carte cognitive
Représentation mentale d'un environnement physique que l'organisme construit lors d'un apprentissage complexe (psychologie cognitiviste)

castration
Le complexe de castration est la réponse fantasmatique aux questions que la différence anatomique des sexes suscite chez l'enfant

censure
Selon Freud, fonction permettant le refoulement. La censure, d'origine extérieure (éducation, société...), effectue un choix entre ce qui doit être conscient et ce qui doit être refoulé

cervelet
Partie du cerveau qui contrôle l'équilibre et la coordination motrice

champ récepteur visuel
Partie du champ visuel qui, lorsque elle est stimulée, entraîne une modification de l'activité électrique d'un neurone

champ sensoriel
Ensemble des étendues dans lesquelles des stimuli permettent le déclenchement des réactions

classification Q
Méthode d'évaluation de la personnalité. On utilise des cartes sur lesquelles figurent des énoncés relatifs à la personnalité. Il convient de séparer les cartes en neuf piles allant de 1 (aucun rapport avec la personnalité du sujet) à 9 (correspond exactement à la personnalité du sujet)

cochlée
Tube osseux situé dans l'oreille interne

codage
Première phase du processus de mémorisation. Un stimulus sensoriel est transformé en une représentation mémorisable

cognition
Ensemble de processus mentaux (perception, mémorisation, raisonnement...)

complexe
Sentiments et représentations plus ou moins inconscients dont la puissance affective détermine une manière stéréotypée de se comporter avec les autres

complexe d' oedipe
Conflit de son développement psychosexuel que doit résoudre l'enfant qui a atteint le stade phallique (environ 5 ans). L'enfant ressent des pulsions sexuelles pour le parent du sexe opposé et reconnaît le parent du même sexe comme un rival. Cette situation entraîne une angoisse de castration surmontée en s'identifiant au parent du même sexe. 3 caractéristiques essentielles : assimilation avec le parent aimé / jalousie envers l'autre parent / Recherche de ressemblance avec le parent aimé

comportement
Ensemble des réactions et conduites conscientes ou inconscientes d'un sujet

compulsion
Contrainte interne qui pousse le sujet à exécuter certains comportements (ex : compulsion à vérifier si une porte est bien fermée, compulsion à se laver les mains...) qui, s'ils ne sont pas réalisés, entraînent une crise d'angoisse. C'est l'un des éléments du trouble obsessionnel compulsif (T.O.C)

condensation onirique
Processus selon lequel, dans un rêve, un contenu manifeste peut exprimer plusieurs contenus latents

conditionnement
Etablissement d'un comportement déclenché par un stimulus artificiel

conditionnement classique
Forme d'apprentissage par association d'un événement avec un autre. Selon l'exemple de Pavlov, on offre de la nourriture à un chien après lui avoir fait sonner une cloche. Il finit donc par saliver dès qu'il entend le son de la cloche

conditionnement opérant
Forme d'apprentissage par association dans laquelle un organisme apprend que la réponse qu'il produit sera suivie d'un renforcement ( ex de Skinner : un pigeon apprend que le fait de picorer un bouton lui donne un morceau de la nourriture)

conscience
Observation opérée en permanence sur nous-mêmes et sur ce qui nous entoure afin que les éléments perçus soient représentées correctement dans notre champ d'appréhension

conservation
Concept selon lequel l'aspect quantitatif d'une chose n'est pas affecté par un changement dans l'apparence de la chose. Par exemple, un sujet qui ne possèderait pas la conservation des volumes pourrait croire que le fait de changer la forme d'un morceau de pâte à modeler, change par conséquent la quantité de pâte ( Théorie du développement cognitif de Piaget)

constance perceptive
Conservations de données objectives de l'environnement malgré une variation de la stimulation (ex : constances de luminosité, de couleur, de forme et de grandeur pour la vision)

corticothropine
(ACTH) Hormone principale du stress sécrétée par l'hypophyse

counselling
Branche de la psychologie qui s'intéresse aux problèmes d'adaptations tels que le burn out

courbe de distribution normale
Courbe régulière et symétrique par rapport à sa moyenne. Par exemple, le quotient intellectuel (QI) a une courbe de distribution normale de moyenne égale à 100. Plus on s'éloigne de cette moyenne, moins il y a de sujets et le nombre de sujets qui ont un QI de 60 (100 - 40) est égal au nombre de sujets qui ont un QI de 140 (100 + 40)

cyclothymie
Synonyme de psychose maniaque dépressive par laquelle un sujet alterne sans raison apparente entre euphorie et tristesse

défense
Ensemble des processus qui servent le moi pour l'aider à lutter contre les tensions qui résultent des exigences du ça et contre tout ce qui peut générer une angoisse

défoulement
Libération des tendances refoulées, extériorisation des conflits psychiques

delirium tremens
Ensemble des symptômes du sevrage qu'on observe chez l'alcoolique (agitation, hallucination, tremblement, fièvre, déshydratation...)

déni
Refus de reconnaître une réalité à caractère traumatisant

dépendance physique
Conséquence de l'usage répété d'une drogue psychoactive. Tolérance à cette drogue et symptômes physiques désagréables pendant le sevrage

dépendance psychologique
Conséquence de l'usage répété d'une drogue psychoactive. Le sujet éprouve le besoin de consommer une drogue même s'il ne ressent aucun symptôme de sevrage. Besoin créé par apprentissage

déplacement
Oubli d'un élément d'information lors de l'ajout d'un nouvel élément dans une mémoire à court terme remplie. Par manque de place le premier souvenir qui inscrit en mémoire est éliminé

dépression
Inhibition psychomotrice accompagnée d'un dégoût de la vie, d'un sentiment de culpabilité, voire d'idées de suicide

désensibilisation systématique
Thérapie comportementale utilisée pour le traitement des phobies simples qui consiste à inciter le sujet à se relaxer dès qu'on l'expose à une situation anxiogène. Progressivement, il perd son anxiété. On peut alors l'exposer à une situation plus difficile jusqu'à l'élimination totale de l'anxiété due à l'objet phobique

déséquilibre psychique
Difficultés d'adaptation aux normes sociale et aux lois de la vie en société

diagnostic
Identification d'une maladie par ses symptômes

drogue psychoactive
Substance qui a pour effet de modifier le comportement, le champ de conscience ou l'humeur (ex : alcool, drogues etc...)

DSM-IV (dsm4)
Système de classification des maladies mentales développé par l'American Psychiatric Association : "Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders" (Manuel diagnostique et statistique des maladies mentales). Un certains nombre de symptômes doivent être vérifiés pour que le diagnostic s'applique à une maladie mentale

dysgraphie
Perturbation dans l'apprentissage de l'écriture chez des enfants d'intelligence pourtant normale

dyskinésie
Trouble de la fonction motrice

dyslexie
Perturbation dans le mécanisme de la lecture

échelle non verbale
Tests d'intelligence de Wechsler. Tests qui permettent de mesurer la capacité à représenter les objets dans l'espace, l'attention et la compréhension des relations sociales

échelle verbale
Tests d'intelligence de Wechsler. Tests permettant de mesurer la capacité à manipuler des symboles abstraits comme le langage et les notions arithmétiques

écholalie
Répétition machinale et anormale des paroles entendues

effet Barnum
Un sujet a tendance à appréhender des énoncés généraux sur la personnalité comme s'ils s'appliquaient à lui-même

égocentrisme
Tendance d'un sujet à tout ramener à lui. Selon Piaget, l'égocentrisme relève chez l'enfant d'une confusion du moi avec le monde extérieur. Par exemple, si l'on demande à un enfant de 5 ans s'il a un frère, il répondra qu'il a un frère qui s'appelle Pierre. Mais lorsqu'on lui demande si Pierre a un frère, il répond que non

élaboration psychique
Remaniement par l'appareil psychique de l'énergie pulsionnelle qui parvient jusqu'à lui et qui, si elle s'accumulait, deviendrait pathogène

électrochocs ou électro-chocs
Thérapie de type biologique utilisée pour traiter des cas de dépressions profondes pour lesquelles les antidépresseurs s'avèrent inefficaces. On fait subir au cerveau du sujet un léger courant électrique afin de générer une convulsion épileptique.

électro-encéphalogramme
Enregistrement graphique de l'activité électrique du cerveau (EEG), mis au point par les travaux du psychiatre allemand Berger dès 1925. On appelle ""onde delta"" les ondes du sommeil, "onde théta", celles d'un sujet en colère

émotion
Trouble provoqué par un objet ou un événement extérieur, accompagné de phénomènes physiques (larmes, pâleur, évanouissement...). Pour les béhavioristes, l'émotion se réduit à ces manifestations physiques

empan mnésique
Nombre maximum d'éléments d'informations qui peuvent être placés dans la mémoire à court terme. L'empan mnésique humain est de 5 à 9 avec une moyenne à 7 éléments d'information

empreinte
Type d'apprentissage s'appliquant à certaines espèces animales selon lequel un nouveau-né s'attache à un modèle quelconque, présent dès la naissance, que ce soit la mère, une autre espèce animale, ou parfois un objet inanimé

encoprésie
Incontinence des matières fécales chez un sujet ayant atteint l'âge de la propreté (environ 2 ans)

endorphine
Peptide secrété par le système nerveux central, présentant une structure et des fonctions analogues à celle de la morphine. La sécrétion des endorphines est générée par des émotions telles que la douleur)

énurésie
Incontinence urinaire souvent nocturne dont le déclenchement est involontaire et inconscient

épilepsie
Maladie nerveuse, caractérisée par des crises de convulsions pouvant aller jusqu'au coma

ergothérapie
Traitement par le travail. Elle libère le sujet dépressif de ses idées fixes, canalise son activité et restaure sa confiance en lui-même

éros
Dans la théorie freudienne : ensemble des pulsions de vie

éthologie
Science des m½urs et comportements des animaux dans leur milieu naturel

extinction
Diminution de l'intensité de la réponse lorsqu'on cesse d'associer le stimulus conditionnel au stimulus inconditionnel.

extraversion
Terme créé par Jung pour définir les sujets multipliant les échanges avec autrui et exigeant l'existence d'autrui.

fantasme
Ensemble de représentations imagées mettant en scène le sujet et traduisant, à travers les déformations de la censure imposée par le sur-moi, les désirs inconscients de celui-ci

fidélité du test
Capacité d'un test psychologique à donner des résultats valables et stables dans le temps

fixation
Persistance d'un attachement, soit à une personne, soit à une situation liée au passé. Elle entraîne des satisfactions narcissiques régressives

formation réactionnelle
Mécanisme de défense par réaction. Un sujet désavoue un mobile considéré comme répréhensible en exprimant avec force le mobile contraire(ex : surprotection d'un enfant non désiré pour se convaincre de l'aimer)

formation réticulée
Structure cérébrale ayant un effet au niveau des capacités d'éveil, de vigilance et de concentration

fréquence spatiale
Motif utilisé pour mesurer l'acuité visuelle et la sensibilité aux contrastes et constitué d'une alternance de bandes foncées et de bandes claires. La fréquence spatiale est d'autant plus élevée que les bandes sont étroites

frustration
Sentiment résultant d'un manque, d'une privation. Selon l'hypothèse frustration-agression, lorsqu'un sujet ne parvient pas à atteindre son objectif, apparaît une tendance agressive orientée vers l'objet ou la personne, estimée comme cause de la frustration

gène
Le gène est l'unité constituée d'ADN, portée par les chromosomes, transmet et conserve les propriétés héréditaires

généralisation
Concept lié au conditionnement classique. Les stimuli qui s'apparentent au stimulus conditionnel ont la capacité de déclencher la même réponse conditionnelle (ex : la peur d'un chien en particulier entraîne la peur systématique de tous les chiens)

générativité
Tendances des adultes à vouloir guider et influencer les générations suivantes (septième stade du développement psychosocial de Erikson)

génotype
Ensemble des caractères héréditairement transmis et apportées par les cellules germinales, en dehors de l'influence du milieu

gonades
Glandes génitales mâles et femelles, qui produisent les hormones sexuelles

graphologie
Etude du caractère d'une personne à partir de son écriture. La graphologie fonctionne sur le postulat que les mouvements de l'écriture, à l'instar du dessin machinal, correspondent aux mouvement de la pensée et de l'affectivité et révèlent, par conséquent, un certains nombre de traits de caractère

graphométrie
Science visant à déterminer les constantes d'une écriture donnée à des fins d'expertise et non pas psychologiques

graphothérapie
Méthode thérapeutique comparable au traitement par le dessin, la musique ou la danse. Elle tente d'opérer un défoulement des instincts pathologiques par la création.

groupe contrôle
Ensemble de sujets témoins qui, ne subissant pas le traitement expérimental, sert d'élément de comparaison.

habitude
Disposition non naturelle acquise suite à un apprentissage pouvant être difficile au début puis devient automatique.

hérédité
Transmission aux descendants des caractères physiques et psychiques des parents

héritabilité de l'intelligence
Partie du quotient intellectuel (QI) d'origine génétique, à distinguer d'une autre partie d'origine environnementale.

hermaphrodite
Homme ou animal possédant à la naissance des glandes génitales mâles et femelles fonctionnelles

homéopathie
Méthode thérapeutique consistant en un traitement usant de doses infinitésimales de produits capables de déterminer des symptômes identiques aux maux que l'on veut supprimer.

homéostasie
Fonction de régulation, d'adaptation physiologique aux changements du milieu

hormone
Substance produite par une glande endocrine et transportée par le sang jusqu'à l'organe cible où elle entre en action

hyperesthésie
Acuité anormalement accrue des sensations

hypnose
Etat psychique proche du sommeil et provoqué par suggestion ou chimiquement (on parle alors plutôt de narcose ou de subnarcose)utilisé dans certaines thérapies

hypophyse
Glande endocrine située dans la selle turcique (sous le cerveaux, au dessous de l'hypothalamus)qui secrète des stimulines agissant sur les glandes endocrines. L'hypophyse assure le lien entre le système nerveux et le système endocrinien

hypothalamus
Région du diencéphale située sous le thalamus et au-dessus de l'hypophyse (partie centrale du cerveau) contrôlant certaines sensations telles que l'agressivité la faim..

hypotonie
Diminution du tonus musculaire

identification
Processus psychique par lequel le sujet s'assimile à une personne ou à un objet

illusion
Erreur des sens ou de l'esprit. Dans le cas des illusions d'optique, l'½il commet une erreur d'appréciation en percevant les objet différemment de ce qu'ils sont.

image consécutive
Illusion d'optique provoquée par une fixation prolongée d'un stimulus, faisant partie d'une classe de phénomènes appelée ""effets consécutifs"". Par exemple, après avoir fixé un certain temps un cercle rouge, l'observation subséquente d'une surface blanche dévoile un cercle vert. On parle alors d'une image consécutive complémentaire

imagination
Faculté de se représenter les objets par la pensée ou de combiner des images entre-elles, pour en créer d'autres qui ne correspondent à aucun objet réel

impuissance acquise
Théorie de Seligram expliquant que l'organisme réagit par l'apathie et la dépression pour affronter des situations de stress qu'il ne peut contrôler

inconscient
L'inconscient est selon Freud, l'ensemble des éléments qui ne sont pas accessibles à la conscience. Il peut s'agir de faits inconscients (actes ou sensations commis ou éprouvé par un sujet sans qu'il s'en rende compte), ou de phénomènes produits au fond du psychisme, ou encore de phénomènes trop faibles pour atteindre le seuil de perception.

inconscient collectif
Instance de la conscience commune à un certain nombre d'individus et due à la stratification des expériences millénaires de l'homme. Cette notion a été élaborée par Jung

incontinence
Voir : encoprésie - énurésie

indices binoculaires de profondeur
Ensemble d'indices disponibles en vision binoculaire uniquement, utilisés par le système perceptif pour évaluer la distance des objets

indices monoculaires de profondeur
Ensemble d'indices disponibles en vision monoculaire seulement, utilisés par le système perceptif pour la distance des objets (grandeur relative, recouvrement, hauteur relative, perspective linéaire, gradient de texture et parallaxe de mouvement)

instinct
Forme de savoir inné commun aux hommes et aux animaux, qui ne nécessite pas d'apprentissage ni de réflexion

intelligence
Faculté de comprendre et de combiner les connaissances pour les orienter vers une action. L'intelligence s'oppose à l'instinct par son adaptation aux circonstances.

interférence
Information qui se présente au champ de conscience, susceptible de nuire au repêchage d'informations (ex : le sujet , voulant se rappeler un nom est perturbé par un autre nom qui lui vient constamment à l'esprit)

interprétation
Travail effectué par le patient avec l'aide de son analyste, visant à dégager le désir inconscient qui anime certains de ses comportements

introspection
Méthode de psychologie à la première personne. Le sujet inspecte lui-même

introversion
Tendance au repliement sur soi, à la limitation des échanges avec autrui et à ramener les cas généraux à son cas particulier.

intuition
Connaissance spontanée et irréfléchie par opposition à un savoir conscient. Le mathématicien Poincaré a mis en évidence la place importante de l'intuition comme point de départ des raisonnement mathématiques

jugement
Mise en relation de deux ou de plusieurs concepts, considérés avec discernement

kinesthésie
Sensations d'origine musculaire, articulaire, cutanée informant sur les positions et les mouvement des différentes parties du corps

kleptomanie ou cleptomanie
Pulsion consciente et involontaire à commettre des vols

lévitation
Transport non démontré d'objets à distance par le seul pouvoir de l'esprit d'un médium

libido
Nom donné par Freud à l'ensemble des instincts sexuels et à la force psychique qu'ils représentent. Freud fait de la libido l'origine des troubles psychologiques en se heurtant à de nombreux impératifs sociaux coercitifs

liquider
Mettre en lumière un conflit afin de le dénouer et guérir ainsi la situation morbide qu'il a pu occasionner (vocabulaire Freudien)

loi de Jost
Selon la loi de Jost (1897), l'apprentissage et les facultés de mémorisation sont améliorés en répartissant des intervalles de temps entre les différentes étapes de cet apprentissage

loi de l'effet
Concept lié au conditionnement opérant. Un comportement est plus susceptible de se reproduire

loi du tout ou rien
Le potentiel d'action, toujours de même amplitude quelle que soit, l'intensité du stimulus, ne peut être déclenché que si le seuil de stimulation du neurone est atteint

ludique
Terme de psychologie utilisé pour définir tout ce qui concerne le jeu (ex : apprentissage ludique = apprentissage par le biais du jeu)

manie
Trouble caractérisé par l'énergie déployée, voire l'exubérance, dans certaines idées ou certains actes. Lorsqu'elle est liée à son opposé la dépression, apparaît le syndrome de la maniaco-dépression.

masochisme
Terme élaboré par l'écrivain allemand Sacher Masoch. Désigne une perversion sexuelle dans laquelle la jouissance érotique est associée à la douleur ressentie par le sujet.

maturation
Transformations déterminées par l'hérédité et relativement indépendantes des événements extérieurs

mécanisme de défense
Stratégie inconsciente pratiquée par le moi afin de réduire l'anxiété éprouvée par le sujet qui ne peut la traduire par une pulsion (refoulement, projection, rationalisation

médecine comportementale
Science cherchant à comprendre comment des variables pouvant être sociales, psychologiques ou biologiques se combinent en produisant une maladie

méditation
Technique permettant d'atteindre un état altéré de conscience en pratiquant certains rites

médium
Personne dont on prétend qu'elle peut communiquer avec des entités supérieures, des esprits

mémoire à court terme
Ensemble des souvenirs conservés quelques minutes en mémoire jusqu'à ce qu'une interférence vienne remplacer la dernière information

mémoire à long terme
Ensemble des souvenirs comportant d'innombrables informations n' apparaissant pas immédiatement dans la conscience (ces informations sont conservées plus ou moins longtemps de l'ordre de quelques heures à toute une vie)

mémoire constructive
Particularité de la mémoire ayant pour effet que la mémorisation des événements s'opère en fonction de la connaissance du monde du sujet

mémoire explicite
La mémoire explicite ou mémoire déclarative concerne le souvenir d'informations personnelles (nom, âge, adresse, souvenirs d'enfance...). L'amnésie agit essentiellement sur la mémoire explicite.

mémoire habitude
Faculté de reproduire un acte passé et mémorisé

mémoire implicite
La mémoire implicite ou mémoire non déclarative concerne le souvenir des acquis de la perception, des organes moteurs ou de l'apprentissage Par exemple, l'amnésie occasionne l'oubli de son âge (mémoire explicite), moi pas l'oubli du calcul de cet age (mémoire implicite)

méthode du regard préférentiel
Méthode pratiquée par les psychologues de la perception pour analyser l'aptitude à la discrimination visuelle d'un enfant en bas âge en lui présentant en même temps plusieurs stimuli visuels. On peut ainsi voir s'il est apte à les distinguer les uns des autres en mesurant le temps passé à contempler chacun d'eux

méthode expérimentale
Méthode scientifique qui vise à mesurer l'effet produit sur une variable en manipulant d'autres variables dont elle dépend

méthode scientifique
Processus intellectuel employé pour résoudre un problème ou acquérir une connaissance

MMPI ou mmpi
(Inventaire Multiphasique de la Personnalité du Minnesota)Test de la personnalité élaboré à partir de 550 énoncés sous forme de QCM (questionnaire à choix multiples orientés)dont les réponses sont "vrai", "faux" ou "ne sait pas". Ce test permet de mesurer différents aspects de la personnalité, tout en vérifiant la validité des réponses

mobile
Ce qui pousse à agir

modelage
Méthode de conditionnement visant à faire apprendre des comportements non naturels à un animal ou à un homme lors de psychothérapies touchant essentiellement l'anxiété et les phobies

moi
Le moi désigne dans le langage psychologique, la personnalité psychique individuelle, consciente de ce qu'elle est elle-même. Il se distingue en cela du ça et du surmoi

moi idéal
Position du moi qui appartient au registre de l'imaginaire et qui représente l'idéal infantile de toute-puissance

moralité conventionnelle
Second stade du développement moral (Kohlberg) selon lequel les actes sont appréhendés par rapport aux règles sociales et aux lois dont ils s'avèrent

moralité post-conventionnelle
Troisième stade du développement moral (Kohlberg) selon lequel les actes sont appréhendés par rapport à ce qui est essentiel au bien commun ou à des principes érigés par soi et pour soi et éventuellement sur la base de principes qu'on a choisis soi-même

moralité pré-conventionnelle
Premier stade du développement moral (Kohlberg) selon lequel les actes sont appréhendés par rapport à une récompense ou à une punition envisagées

morbide
Relatif aux maladies psycho-pathologiques

morphopsychologique
Système d'interprétation psychologique fondé sur les structures morphologiques (Corman)

motivation
Activation de l'organisme pour le faire agir sur son environnement, que ce soit des motivations biologiques (la faim, le besoin de se vêtir), sociales (rivalité)ou cognitives (on parle de "soif d'apprendre")

narcissisme
Peut s'appliquer à une perversion sexuelle consistant à se choisir soi-même comme objet érotique. Concernant le développement psycho-sexuel, la phase narcissique concerne l'enfant qui n'a pas encore opéré de différenciation entre lui-même et le monde extérieur

narcoanalyse
La narcoanalyse, autrement appelée subnarcose, est un procédé employé pour explorer le psychisme. On place le sujet dans un état proche du sommeil dans lequel il conserve un contact avec le monde extérieur par l'emploi d'un barbiturate euphorisant de type penthotal. Ce procédé vise à opérer un déblocage en atténuant les inhibitions

narcolepsie
Trouble caractérisé par des besoins irrépressibles de sommeil lors desquels le sujet voit son tonus musculaire baisser et tombe dans un état de sommeil paradoxal lors de l'éveil

neurasthénie
Etat dépressif caractérisé par une grande fatigue teintée de mélancolie

neurodépresseurs
Drogues psychoactives qui atténuent l'activité du système nerveux central (c'est le cas des tranquillisants légers ou de l'alcool)

neuroleptiques
Drogues exerçant une action sédative sur le système nerveux utilisées notamment pour les troubles liés à la schizophrénie

neurone
Cellule nerveuse constituée par un corps cellulaire avec noyau et protoplasma ainsi que des prolongements plus ou moins nombreux, qui assure la conduction de l'influx nerveux

neuropsychologie
Discipline qui s'intéresse à l'étude des effets des lésions cérébrales sur les comportements et processus mentaux

neurotransmetteur
Substance chimique des vésicules synaptiques qui, une fois libérée dans la brèche synaptique vient stimuler un autre neurone

névrose
Affection nerveuse qui n'a pas de lésion anatomique visible mais entraîne des troubles du comportement sans altérer gravement la personnalité du sujet contrairement à la psychose. Les angoisses, les phobies, l'obsession, l'hystérie font partie des névroses

névrose d'angoisse
Angoisse permanente où le sujet se trouve dans l'attente d'un danger

névrose hystérique
Maladie due à un trouble infantile caractérisée par des troubles psychiques et moteurs

névrose obsessionnelle
Caractérisée par un comportement de type rituel destiné à parer des impulsions ou images obsédantes

névrose phobique ou phobie
Se manifeste par une angoisse extrême du sujet lorsqu'il se trouve en présence de certains objets, vivants ou non, ou dans certains lieux

névrose traumatique
Occasionnée par un choc émotionnel violent au cours duquel le sujet à ressenti une menace peser lourdement sur sa vie, elle se traduit par de l'anxiété, une agitation, parfois de la stupeur

névrotisme
Niveau de stabilité émotive. Un sujet anxieux, mal adaptée possède un haut degré de névrotisme

nosographie
Description d'une maladie

obésité
Surcharge pondérale par accumulation des graisses, dépassant de 30% au moins le poids moyen calculé en fonction de la constitution et de la taille

obsession
Pulsion ou pensée qui s'impose à l'esprit du sujet et contre sa volonté.

organisme fond / forme
Première étape du processus de perception visuelle. Distinction des parties de l'image relatives à la figure et des parties relatives au fond

orthophonie
Technique de rééducation des troubles du langage tels que la dyslexie

oubli
Perte du souvenir qu'elle soit normale (mémoire à court terme) ou pathologique.

parallaxe de mouvement
Lorsqu'on se déplace, les objets rapprochés semblent se déplacer plus rapidement que les objets éloignés

paraphasie
Trouble du langage consistant en la substitution de syllabes ou de mots les uns aux autres

paraphilie
Perversion sexuelle

parapsychologie
Etude des phénomènes d'apparence surnaturelle comme la télépathie ou la télékinésie

pathogène
Qui engendre des maladies

pathologie
Maladie par opposition à normal. La psychologie pathologique s'emploie à étudier les troubles mentaux afin de déceler les lois psychiques normales

pavlovisme
Théorie du physiologiste russe Pavlov, auteur de travaux sur le réflexe conditionnel, selon laquelle toute l'activité psychique peut se ramener à une combinaison plus ou moins complexe de réflexes conditionnels.

perception
Action de connaître par l'intermédiaire des sens, interprétation de stimuli sensoriels. On distingue la perception de la sensation en ce qu'elle ne relève pas seulement des sens, mais intègre une élaboration de l'esprit autour de ce témoignage

permanence de l'objet
Concept selon lequel l'enfant prend conscience du fait que les objets continuent d'exister quand ils ne sont plus perceptibles par ses sens (théorie du développement cognitif de Piaget)

personnalité
Ce qui caractérise une personne dans sa singularité, son unité et sa permanence et régissent son adaptation à l'environnement

personnalité antisociale
Trouble de la personnalité autrement appelé psychopathie ou sociopathie, caractérisé par un manque d'empathie, de honte ou de culpabilité

personnalité multiple
Trouble psychologique caractérisé par la coexistence dans le psychisme d'un même sujet de deux ou plusieurs personnalités sans qu'il en ait nécessairement conscience

phénomène
Ce qui se manifeste aux sens, à la conscience et peut, à ce titre, être objet de science

phénoménologie
Etude de l'expérience subjective et de sa perception personnelle de l'environnement. Chez Husserl, la phénoménologie est la méthode philosophique visant, par delà les êtres empiriques, la connaissance des essences

phobie sociale
Peur irrationnelle des situations sociales dont les caractéristiques peuvent être le tremblement, le bégaiement, la rougeur...

phrénologie
Etude prétendument scientifique du caractère et des aptitudes d'après la forme du crâne (fondée par Gall)

physiognomonie
Art permettant de connaître les hommes d'après leur physionomie

pithiatisme
Ensemble des troubles provoqués par la suggestion et pouvant être guéris par la suggestion (Babinsky)

placebo
Préparation ne contenant aucune substance active, que l'on substitue à un médicament pour évaluer la part du facteur psychique dans son action ou, dans certains cas, destiné à agir par suggestion

principe de plaisir
Principe régissant le fonctionnement mental et qui tend à satisfaire les pulsions, quelles que puissent être les conséquences ultérieures

principe de réalité
Principe régissant le fonctionnement mental et suivant lequel les formations de l'inconscient sont ordonnées selon une causalité psychique naturelle

principe de répétition
Processus inconscient et irrésistible qui replace le sujet dans des situations désagréables et pourtant similaires à des situations antérieures

profil psychologique
Graphique permettant de représenter pour un sujet, les résultats des différents tests auxquels il a été soumis

projection
Mécanisme de défense consistant à attribuer à autrui un sentiment éprouvé par soi-même sans être accepté

proprioception
Sensation de la position et des mouvements du corps dans l'espace par l'intermédiaire de récepteurs sensoriels situés dans l'oreille interne, les muscles et les tendons

prosopagnosie
Agnosie visuelle caractérisé par une difficulté à reconnaître les visages.

psychanalyse
Méthode d'investigation de la personnalité créée par Sigmund Freud (1856-1939)selon laquelle une grande partie de notre comportement prend sa source dans des processus inconscients

psychiatrie
Médecine des troubles mentaux qui emploie les méthodes physiques de la médecine (médicaments, électrochocs...), mais s'attache aussi à comprendre les causes psychiques de ces troubles, à dénouer les conflits et à corriger les tendances pathologiques

psycho-immunologie
Branche de la psychologie qui étudie comment les variables psychologiques affectent le système immunitaire

psychologie
Etude scientifique des faits psychiques (processus mentaux conscients ou inconscients, mémoire, perception etc...)

psychologie clinique
Branche de la psychologie appliquée au diagnostic et au traitement des troubles affectifs et comportementaux

psychologie génétique
Branche de la psychologie appliquée aux facteurs qui influent sur le comportement de la naissance à la fin de la vie

psychologie industrielle
Branche de la psychologie appliquée à la relation entre l'individu l'emploi (sélection, adaptation, optimisation), mais aussi à la relation entre l'individu consommateur et le produit (que ce soit un bien, un service ou une image)

psychologie scolaire
Voir : psychopédagogie

psychométrie
Branche de la psychologie appliquée à l'élaboration et l'utilisation d'outils de mesure des différences individuelles tels que les tests du QI et de personnalité

psychopathe
Sujet atteint de maladie mentale

psychopédagogie
Branche de la psychologie appliquée à l'éducation de l'enfant et aux difficultés que celui-ci peut rencontrer au cours de sa scolarité

psychophysiologie
Branche de la psychologie appliquée à l'étude des fondements biologiques des comportements et des processus mentaux

psychose
Trouble mental grave. Ce terme recouvre l'ensemble des maladies mentales : délires, manies, démences. Contrairement à la névrose, le sujet n'a pas conscience des troubles dont il est sujet.

psychose hallucinatoire chronique
Délire chronique où dominent les hallucinations (perception sans objet)rencontrée surtout chez les hommes à partir de 40 ans

psychose maniaco-dépressive
Succession d'états dépressifs et d'épisodes maniaques (excitation)

psychose paranoïaque
Maladie caractérisée par l'apparition de délires de revendications ou délires passionnels apparemment logiques. Le sujet se place au centre de tout, interprète tout par rapport à lui et peut être sujet à la mégalomanie (se croit un personnage important) ou au délire de persécution

psychosomatique
Relations empiriques entre les émotions et certaines affections. En d'autres termes, relation entre des troubles psychiques et les troubles biologiques que ceux ci peuvent occasionner

psychothérapie
Ensemble des moyens psychologiques (et non biologiques)par lesquels on soigne les troubles mentaux

pulsion
Force irraisonnée qui nous pousse à certains actes. Le prototype est la pulsion sexuelle

pulsion de mort
Force qui pousse un individu à l'autodestruction. Elle est à l'½uvre dans les passages à l'acte et dans la dépression

pycnique
Type morphologique rond et corpulent avec tendance cyclothymique (Kretshner)
quotient intellectuel ou QI
Nombre exprimant le rapport de l'âge mental à l'âge réel du sujet. Consiste à diviser l'âge mental par l'âge chronologique et à exprimer le résultat par rapport à 100.

raison
Faculté intellectuelle par opposition aux pulsions, qui permet de connaître et de juger.

rappel libre
Situation de remémoration dans laquelle on ne considère pas l'ordre d'apprentissage

rationalisation
Mécanisme de défense. Le sujet tente d'attribuer socialement acceptables (logiques) à ses comportements pour avoir l'air d'agir rationnellement

réaction
Réponse spontanée ou volontaire à une stimulation extérieure

réflexes absolus
Réflexes inconditionnels, innés, relevant du capital héréditaire (ex : salivation du chien face à un aliment),

réflexes conditionnels
Réflexes produits en fonction de conditions particulières qui peuvent avoir été enseignées. Dans l'exemple de Pavlov, la salivation du chien au son de la cloche est le produit d'un enseignement au cours duquel on émettait une sonnerie avant de lui présenter de la nourriture

refoulement
Processus de défense du moi selon lequel certaines tendances ou souvenirs sont rejetés dans l'inconscient. Lorsque le refoulement s'opère mal, des tendances contradictoires coexistent et créent des conflits voire des névroses

régression
Retour du sujet à un état psychique antérieur des suites de frustrations

rémanence
Sensation d'un objet se maintenant alors que la stimulation a cessé

rémission spontanée
Phénomène selon lequel des sujets présentant des troubles psychologiques voient leur état s'améliorer sans intervention professionnelle, par le seul effet du temps

renforcement primaire
Substance qui satisfait un besoin biologique

renforcement systématique
Psychothérapie reposant sur les principes du conditionnement opérant et consistant à donner une récompense (renforcement positif) lorsque le comportement désiré est satisfait et à ne jamais récompenser le comportement non désiré

repêchage
Troisième phase du processus de mémorisation consistant à retrouver une information mémorisée parmi l'ensemble des informations placées en mémoire.

réponse conditionnelle
La réponse conditionnelle est la réaction de l'organisme à la présentation d'un stimulus conditionnel. Dans l'exemple de Pavlov, la salivation du chien lorsqu'il entend le son d'une cloche est une réponse conditionnelle.

réponse inconditionnelle
Réaction naturelle de l'organisme à un stimulus inconditionnel (activité réflexe).

résistance
Manifestation du refus du sujet que ce soit par des actes, un comportement ou des paroles, de reconnaître une expression de son inconscient

rétroaction biologique ou biofeedback
Technique consistant à permettre à une personne d'enregistrer ses propres processus physiologiques (rythme cardiaque, tension artérielle...) afin de les contrôler volontairement

rêve
Voir : symbole

sadisme
Perversion sexuelle dans laquelle la satisfaction sexuelle n'est obtenue qu'en infligeant des souffrances au partenaire

sado-masochisme
Association du sadisme et du masochisme

scène primitive
Image fantasmatique au cours de laquelle l'enfant croit être témoin du coït de ses parents

schème
Conception du monde physique et social développé par l'enfant sur la base de ses expériences personnelles (théorie du développement cognitif de Piaget)

schizophrénie
Trouble mental parmis les plus sérieux, autrement appelé démence précoce. La schizophrénie est une dissolution de la personnalité, un dédoublement à la fois intellectuel (impression d'être dirigé par un esprit étranger), affectif (détachement par rapport à l'entourage) mais aussi au niveau de l'action (sentiment d'irréalité par rapport au monde et indifférence vis à vis de l'action). Cette maladie peut occasionner des hallucinations et des troubles moteurs

sélection psychotechnique
Opération effectuée à l'aide de tests et permettant de déterminer les sujets les plus aptes à réussir dans une activité donnée

sentiment d'infériorité
Sentiment de démission face à toute difficulté. Selon Adler, le sentiment d'infériorité est à l'origine de la plupart des névroses. En opposition à Freud pour qui la libido domine le psychisme, Adler considère qu'il s'agit du besoin de sécurité qui, lorsqu'il s'avère insatisfait entraîne en réaction soit un phénomène de compensation, soit une résignation à cette infériorité

seuil
Minimum d'excitation nécessaire pour produire une sensation. Par exemple, un ultrason peut avoir une émission trop faible pour atteindre le seuil de perception. Les seuils varient en fonction des individus et des circonstances

seuil absolu
Mesure minimum que doit avoir une excitation pour avoir une sensation

seuil différentiel
Mesure de la plus petite différence qui puisse permettre de distinguer 2 sensations dans 50% des cas

sismothérapie
Thérapie utilisant l'effet de choc, d'accès convulsifs provoqués artificiellement.

soi
Utilisé par certains pour traduire le Es freudien, synonyme de ça

sommeil lent
Phase du sommeil composée de quatre stades produisant des ondes cérébrales de faible fréquence. Il est caractérisé par l'absence de mouvements oculaires rapides

sommeil paradoxal
Stade du sommeil ou le sujet est le plus profondément endormi et et durant lequel le cerveau produit une onde cérébrale bêta. C'est à ce stade du sommeil qu'apparaissent les rêves de type narratifs et des mouvements oculaires rapides

souvenir écran
Souvenir d'enfance insignifiant évoqué par l'adulte à la place d'un souvenir angoissant donc refoulé

SQLRT
Méthode composée de 5 étapes (survol, question, lecture, répétition, test) destinée à améliorer la mémoire qui est efficace pour mémoriser des informations contenues dans un manuel

stade opératoire concret
Troisième stade du développement cognitif (théorie de Piaget)concernant l'enfant de 7 à 12 ans. Celui-ci est capable d'utiliser des termes abstraits lorsqu'ils portent sur des objets concrets et maîtrise à présent la conservation des nombres, des volumes et de la masse

stade opératoire formel
Quatrième et dernier stade du développement cognitif (théorie de Piaget)concernant l'enfant de 12 ans et plus. Celui-ci est capable de raisonner de façon purement symbolique et, pour vérifier un phénomène, de systématiser ses hypothèses

stade préopératoire
Second stade du développement cognitif (théorie de Piaget)concernant l'enfant de 2 à 7 ans. Celui-ci découvre le langage et peut représenter des objets des mots ou d'autres objets. S'il commence à penser de façon symbolique, sa pensée demeure égocentrique dans ce sens où il lui est difficile d'adopter le point de vue des autres

stade sensori-moteur
Premier stade du développement cognitif (théorie de Piaget)concernant l'enfant de 0 à 2 ans. Celui-ci découvre les rapports entre ses activités et leurs conséquences ainsi que la permanence de l'objet

stimulus
Agent extérieur produisant l'excitation d'un organe sensoriel. Les stimuli peuvent ê

stockage
Seconde phase, après le codage, du processus de mémorisation. Une information est placée en mémoire pendant un certain temps

stress
Action exercée par des événements sur l'organisme et qui le met en danger à la fois physiquement et psychologiquement

stress post-traumatique
Trouble anxieux généré par l'obsession d'un événement traumatisant

style d'attribution
Concept du à Abramson. Un sujet utilise toujours le même type de raison pour expliquer les événements de vie (ex : chance ou malchance, don ou absence de don...)

subconscient
Les phénomènes subconscients sont ceux qui ne sont pas perçus clairement mais suffisamment pour apparaître parfois à la conscience.

sublimation
Processus suivant lequel l'énergie d'une pulsion sexuelle ou agressive est déplacée vers des buts valorisés socialement

surmoi ou sur-moi
Nom dû à Freud, traduisant les tendances qui se manifestent ouvertement et constituent le personnage social du sujet. La où le moi est individuel, le surmoi est donc social.

symbole
Objet ou fait représentant un autre objet ou fait qu'on lui substitue. Selon Freud, dans les rêves, le sujet exprime ses désirs inconscients sous forme de symboles. En comprenant ces symboles, on peut donc comprendre les désirs inconscients, voire guérir les troubles causés par le refoulement de ces désirs. Exemple de symbole : l'arme blanche pour l'organe sexuel masculin

symptôme
Manifestation pathologique décrite par le malade ou observée par le médecin

syndrome
Ensemble des manifestations pathologiques

tabou
Mot d'origine polynésienne qui, en sociologie, désigne l'interdit destiné à protéger un être ou un objet considéré comme sacré

TAT
Thematic Aperception Test ou Test d'Aperception Thématique. Test consistant à faire inventer au sujet des récits à partir d'un thème suggéré par une image extraite d'une série de 20 images
ambigües

télépathie
Sentiment de communication directe et à distance par la pensée ou les sens

test collectif
Test conçu pour être administré simultanément à plusieurs personnes

test d'aptitude
Test destiné à envisager ce que le sujet pourrait faire avec de la pratique, ce en quoi il possède des qualités sans toujours en avoir conscience

test d'intelligence
Test destiné à évaluer la capacité générale d'apprentissage d'un individu. (test de vocabulaire, test du bonhomme, cubes de Kohs, séries à compléter...)

test de rendement
Test destiné à évaluer les connaissances et habiletés acquises au moment du test, par le sujet. (ex : les examens scolaires)

test de Rorschach
Test projectif de la personnalité au cours duquel le sujet doit dire ce qu'il voit dans 10 taches d'encre

thanatos
Pulsion de mort

théorie de la forme
Souvent appelée de son nom allemand "Gestalt theorie", elle considère que la perception est perception d'une forme, c'est à dire d'un ensemble, dont les éléments d'abord indistincts, s'individualisent progressivement. Elle est en opposition avec les théories analytiques, selon lesquelles on perç

thérapie comportementale
Psychothérapies qui font appel aux théories de l'apprentissage et du conditionnement pour modifier des comportements indésirés (désensibilisation systématique, renforcement systématique, modelage...)

thérapie comportementale cognitive
Psychothérapies qui font appel aux théories de l'apprentissage et du conditionnement ainsi qu'aux processus de pensée et de raisonnement du sujet pour modifier des comportements indésirés
thérapie humaniste
Psychothérapies qui font appel à la conception phénoménologique de la personnalité, en partant du postulat que le sujet est le mieux placé pour trouver ses propres solutions à ses problèmes et que le rôle du psychothérapeute est de l'y aider

thérapie psychanalytique
Psychothérapie visant à faire prendre conscience au sujet de la manière dont les événements passés influent sur sa personnalité

toc
voir : compulsion

trait de personnalité
Caractéristique de la personnalité durable. Selon Cattell, on peut définir la personnalité avec 16 traits majeurs

transfert
Phénomène de report d'affectivité d'un sujet à un autre. Lorsqu'il se produit au cours d'une psychanalyse du client vers le psychanalyste, ce transfert devient révélateur d'un type de relation entre le sujet et autrui

traumatisme
Ensemble de troubles occasionnés par une lésion produite mécaniquement ou par un choc psychologique

tronçon
Unité significative d'information placée dans la mémoire à court terme

trouble affectif
Catégorie de troubles mentaux du DSM-4, correspondant aux perturbations de l'humeur

trouble bipolaire
Trouble affectif caractérisé par un état de dépression entrecoupé d'épisodes de manie.
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#Posté le lundi 22 octobre 2007 15:17

DEVELOPPEMENT ET DIFFERENTIELLE : Les tests ; L'entretien ; La méthode et l'entretien clinico-critique ;

LES TESTS

Les tests psychologiques sont des outils dont se sert le psychologue chaque fois qu'il a besoin de recueillir les performances, de décrire le comportement ou la personnalité d'un sujet (enfant ou adulte), et de les comparer à d'autres.

Définition

Il s'agit « d'une épreuve strictement définie dans des conditions d'application et dans son mode de notation et qui permet de situer le sujet par rapport à une population elle-même bien définie » (Zazzo, 1969).
Chaque test évalue un aspect précis du fonctionnement psychologique de l'individu : intelligence, personnalité...
L'ensemble des situations des tests est standardisé. Cette standardisation porte tout d'abord sur la tâche à accomplir (consigne et manière de faire), le matériel proposé et l'enregistrement des réponses. Elle permet ensuite de comparer les réponses d'un sujet à celles d'autres sujets placés dans la même situation à l'aide d'un étalonnage.

Les conditions métrologiques

Avant toute passation de test, le psychologue ou chercheur en psychologie doit prendre connaissance de la manière dont il a été construit. Il est important de vérifier avant l'utilisation de tout type de tests, ses qualités métrologiques :

1) Sensibilité : Les tests permettent-ils de différencier des sujets différents ?

La sensibilité des tests réside dans la finesse discriminatoire : plus un test est sensible, plus il permet de classer de manière nuancée les individus qu'il teste.
Ex : si un test met en évidence 8 classes dans son échelle de mesure dont l'une d'entre elle regroupe 80 % des sujets, la sensibilité de ce test est faible, il n'est pas suffisamment discriminatoire.

2) Fidélité : Les tests fournissent-ils des informations stables ?

La fidélité d'un test concerne la stabilité des résultats obtenus qui doivent être constants et ne pas dépendre de l'expérimentateur. Un test fidèle doit pouvoir donner la même évaluation s'il est appliqué plusieurs fois au même sujet malgré le fait que le sujet ne se retrouve plus dans la même situation (conditions psychologiques différentes, effet d'apprentissage, ...).

Pour évaluer la fidélité d'un test, on a recours à des méthodes particulières :
- La constitution d'échelles parallèles : deux échelles sont appliquées aux mêmes sujets puis comparées entre elles.
- La méthode dite de « split-half » dans laquelle le test est coupé en deux parties égales qui sont ensuite comparées entre elles.
- La méthode de test-retest : on réalise deux applications du même test.
Dans tous les cas, la comparaison est effectuée en calculant un coefficient de corrélation. On considère comme satisfaisant un coefficient de fidélité (ou de corrélation) de l'ordre de .90.

3) Validité : Les tests présentent-ils des indications pertinentes au regard des situations que l'on étudie ?

La validité correspond à la capacité d'un instrument à mesurer réellement ce qu'il est sensé mesurer, selon l'utilisation que l'on veut en faire. C'est un terme générique qui concerne les problèmes soulevés par les questions suivantes :

- Le type de test utilisé convient-il vraiment à l'usage auquel il est destiné ?
- Quels sont les traits mesurés par le test ?
- Le test mesure-t-il ce qu'il est sensé mesurer ?
- Les informations fournies par le test sont-elles utiles pour prendre des décisions ?
- Quelles interprétations peut-on faire des scores obtenus au test ?
- Quelles prédictions peut-on tirer des scores obtenus au test ?
- Quel degré de variance découle de la variable mesurée par le test,

La validité est toujours liée à une situation particulière, c'est à dire que dans d'autres conditions et à partir d'autres échantillons ou méthode d'analyse on observerait des résultats différents. Ex : un test de personnalité ne donne pas d'indication sur la mémoire et, à contrario, un test de mémoire ne donne pas d'indication sur la personnalité.
Une fois que le psychologue a pris connaissance de la construction du test, il doit en connaître parfaitement son objectif général et les objectifs spécifiques à chaque situation ainsi que la manière de les faire passer.

Les étalonnages

Etalonner un test, c'est construire une échelle de référence à partir d'un échantillon représentatif d'une population. Une échelle étalonnée permet de comparer la position d'un individu dans cette échelle à celles des autres individus de son groupe d'appartenance. Il existe deux types d'étalonnage :

- Les quantilages : les scores sont classés en ordre croissant et on constitue des classes de façon à ce que chaque classe contienne le même pourcentage déterminé de scores.
- Les échelles normalisées : les pourcentages de scores dans chaque classe ne sont plus égaux, les limites de classe sont choisies de telle façon qu'elles correspondent à une distribution symétrique proche de la loi normale.

Utilisation des tests

On peut repérer deux types d'utilisation des tests :

- En recherche : ex : étude longitudinale dont l'objectif est d'étudier les effets éventuels d'une scolarisation précoce (à partir de 2 ans) sur les apprentissages fondamentaux ultérieurs. Les enfants sont évalués individuellement durant 4 ans sur le plan du langage, de l'attention, de la numération... Les chercheurs ont appliqué à tous les mêmes épreuves de façon à voir ensuite s'il y a des différences entre les performances de ceux qui sont entrés à l'école à 2 ans et les autres.
- Dans l'examen individuel : le psychologue est là confronté à une demande (école, bilan de compétences...° dont il va comprendre puis résoudre à l'aide de différentes techniques dont les tests.

Les types de tests dans l'évaluation du fonctionnement cognitif

1- Les tests de développement

La méthode des tests de l'intelligence est née sous l'effet d'une double influence : celle de la psychologie expérimentale et celle de la psychologie différentielle. En 1879, Wundt, physiologiste et philosophe, fonde à Leipzig le premier laboratoire de psychologie expérimentale où il mesure l'activité perceptive, l'attention et les modifications physiologistes qui y sont associées. Galton, projette de différencier les intelligences individuelles à l'aide de mesure simples, sensorielles ou motrices. Vers 1885, il crée le terme de « psychométrie » qu'il définit ainsi « art d'imposer aux opérations de l'esprit la mesure et le nombre » et adopte le modèle statistique. En 1890, Catell, élève de Wundt et de Galton, invente le terme de tests mentaux, à propos d'épreuves psychomotrices, sensorielles ou mnésiques. Ces épreuves trop spécialisées ne permettent pas de dégager une idée globale de l'intelligence.

En France, en 1905, Binet et Simon créent le premier test d'intelligence, l'Echelle Métrique d'Intelligence (EMI), qui permet de repérer les enfants débiles mentaux. Elle comporte 55 items de difficulté croissante, regroupé par niveau d'âge. Selon ces auteurs, les résultats sont étroitement liés au développement intellectuel, les amenant à la notion d'âge mental. L'objectif de EMI est de permettre une hiérarchisation de différents individus par l'emploi d'une méthode comparative (comparaison d'enfants d'âges différents, comparaison d'enfants normaux et anormaux).

Le matériel est composé d'un ensemble d'épreuves ou tests composites explorant aussi bien la mémoire, la compréhension, le raisonnement... Ce test permet d'évaluer quantitativement le développement de l'intelligence de chaque enfant en comparant son âge réel (ou chronologique) et le niveau d'âge des épreuves qu'il réussit (âge mental. C'est la différence entre âge chronologique et âge mental qui sert de mesure de l'intelligence. Plus tard, Stern et Terman proposeront d'utiliser le rapport âge mental/ âge chronologique x 100 est appelé quotient intellectuel (QI)


2- Les tests non-verbaux

Ces épreuves sont nées de diverses critiques aux échelles de Binet-Simon. On reproche à ces tests que l'évaluation concerne uniquement des connaissances scolaires et non de l'intelligence ; par ailleurs, certaines épreuves trop verbales, ne seraient pas adaptées aux sujets ayant des problèmes de maîtrise de la langue comme les immigrés.
Ex de tests non-verbaux : les labyrinthes de Porteus : trouver le chemin afin de sortir d'un labyrinthe imprimé.

L'absence d'épreuves non-verbales dans ces tests pose la question de l'intelligence non verbale, sans langage qui a conduit à la création d'épreuves non verbales dans les tests composites.

3- Les épreuves composites

Elles sont composées d'épreuves verbales et non verbales :

- WIPPSI (Weschler Preschool and Primary Scale of Intelligence) pour les enfants de 4-6 ans.
- WISC (Weschler Intelligence Scale for Children) pour les enfants de 6-16 ans.
- WAIS (Weschler Adult Intelligence Scale) pour les adolescents et adultes de 16-79 ans
.Tous les trois sont construits sur le même principe : 12 épreuves dont 10 obligatoires et 2 facultatives :
- 6 épreuves verbales : information, compréhension, arithmétique, similitude, vocabulaire et facultativement mémoire des chiffres.
- 6 épreuves non verbales : complément d'images, arrangement d'images, cubes, assemblage d'objets, code et facultativement labyrinthe.


4- Les épreuves issues de la théorie piagétienne

Il s'agit d'une standardisation des entretiens piagétiens de recherche dans un but psychométrique. A l'issue des épreuves, on situe le sujet dans un des stades stables de l'intelligence décrite par Piaget (pas de QI). Ces tests sont délaissés par les psychologues car ils nécessitent une bonne connaissance du modèle piagétien.


5- Le K-ABC : une rupture dans l'évaluation de l'intelligence (Kaufman Assesment Battery for Children)

Son objectif est d'évaluer la façon qu'a chaque individu de résoudre des problèmes nouveaux et de traiter l'information. Le profil défini par le K-ABC indique le style d'apprentissage propre à chaque enfant et permet de pouvoir agir directement sur les compétences déficitaires. Applicable pour des enfants de 2 ½ à 12 ½ ans, le K-ABC comporte 16 épreuves. Le matériel et les tâches sont attrayantes, la passation ne nécessite pas beaucoup d'interventions verbales du psychologue.

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L'ENTRETIEN

Définition

L'entretien est une technique de recueil de l'information qui se déroule dans une relation de face à face.

Il existe 3 types d'entretiens :

- L'entretien non-directif : il repose sur une expression libre de l'enquêté à partir d'un thème proposé par l'enquêteur. L'enquêteur se contente alors de suivre et de noter la pensée, le discours de l'enquêté sans poser de questions.

- L'entretien directif : ce type d'entretien s'apparente sensiblement au questionnaire, à la différence que la transmission se fait verbalement plutôt que par écrit. Dans le cadre de cet entretien, l'enquêteur pose des questions selon un protocole strict, fixé à l'avance (il s'agit d'éviter que l'interviewé ne sorte des questions et du cadre préparé).

- L'entretien semi-directif : il porte sur un certain nombre de thèmes qui sont identifiés dans une grille d'entretien préparé par l'enquêteur. L'interviewer, s'il pose des questions selon un protocole prévu à l'avance parce qu'il cherche des informations précises, s'efforce de faciliter l'expression propre de l'individu, et cherche à éviter que l'interviewé ne se sente enfermé dans des questions. Au contraire, il « se laisse diriger tout en dirigeant » (Piaget).


Objectifs de l'entretien

- Obtenir des informations, des perceptions, sentiments, attitudes ou opinions de la part de l'interlocuteur.
- Comprendre ce que les personnes pensent ou peuvent penser sur un sujet.
- Approfondir des points importants.
- Initialiser une démarche participative.


Déroulement de l'entretien

L'entretien comprend trois étapes :

1- La préparation de l'entretien :

1-1- Définition du cadre :

- Définir les objectifs de l'entretien.
- Voir les informations déjà disponibles sur le sujet à interroger.
- Délimiter les informations et éventuellement les documents que l'on cherche à obtenir.
- Etablir la liste des personnes à interroger (échantillon représentatif de personnes) : cette liste peut être réaliser à partir d'un premier entretien avec un responsable si l'on enquête par exemple au sein d'un établissement.
- Prévoir le planning des entretiens.

1-2- Préparation du guide d'entretien

- Préparer un guide d'entretien comprenant les grands thèmes à aborder.
- Pour lister ces thèmes, utiliser éventuellement l'outil QQOQC (qui, quoi, où, quand, comment).
- Rédiger les questions de manière à interroger l'interlocuteur sur chaque thème, en appliquant le principe FOCA :
. Quels sont les Faits ? (objectivité)
. Quelle est votre Opinion ? (subjectivité)
. Que faudrait-il Changer ? (suggestions)
. Quelles Actions avez-vous entreprises ? (attitudes face au changement)

2- La réalisation de l'entretien

2-1- Mise en confiance de l'interlocuteur
- Choisir un lieu qui permette de préserver la convivialité et la confidentialité du contenu de l'entretien.
- Se faire éventuellement présenter par le responsable de l'établissement.
- Exprimer clairement le cadre et l'objectif de l'entretien.
- Présenter le plan, la durée de l'entretien.
- Annoncer les attentes et, si besoin est, que des copies de certains documents pourront être demandés.
- Informer l'interlocuteur sur le fait qu'un compte rendu lui sera soumis pour validation à la suite de l'entretien.
- Obtenir l'accord de l'interlocuteur sur le fonctionnement proposé.

2-2- Conduite de l'entretien

- Créer un climat favorable par une attitude d'ouverture et d'écoute : ne pas émettre de jugement.
- Conduire l'entretien à partir du guide.
- Prendre des notes détaillées et précises (utilisation d'un magnétophone).
- Commencer avec des questions ouvertes pour favoriser l'expression de la personne.
- Compléter par des questions fermées pour obtenir certaines précisions.
- Utiliser la reformulation pour vérifier et faire préciser les informations.
- Permettre à l'interlocuteur de faire le point sur l'avancement de l'entretien : par des reformulations sur les aspects importants et complexes ; par des synthèses à l'issue de chacune des parties importantes.
- Adapter la conduite de l'entretien à l'interlocuteur.
- La durée de l'entretien ne doit pas dépasser 2 heures.

2-3- Synthèse de l'entretien avec la personne

- Faire la synthèse pour l'interlocuteur de ce qui a été dit lors de l'entretien.
- Rappeler la suite qui sera donnée à sa contribution.

3- Le suivi de l'entretien

- Relire les notes le plus tôt possible après l'entretien (ou retranscription de l'enregistrement audio).
- Rédiger rapidement le compte-rendu.
- Faire valider le compte-rendu par l'interlocuteur en lui demandant, si besoin est, des informations complémentaires.
- Exploiter l'entretien le plus rapidement possible.


Les diverses formes d'intervention de l'interviewer au cours de l'entretien

- Reformulation : lorsque la personne semble ne pas avoir compris une question. La reformulation qualifie une intervention qui redit en d'autres mots, d'une manière plus concise ou plus explicite, ce qui vient d'être exprimé et qui assure à la personne que ses propos sont bien compris (4 techniques de reformulation : écho, reflet, synthétique, par hypothèse).

- Question de relance : si réponses ambiguës ou insuffisamment précises.

- Recentrage : lorsque la personne perd de vue la question posée, déborde de la question, il faut recentrer la discussion soit en résumant les idées déjà émises, soit en rappelant la question de départ.

- Point de synthèse : après avoir exploré un thème et avant de passer à un autre, faire le point sur les informations recueillies afin d'en vérifier la qualité. Ce temps favorise aussi la mémorisation et l'on s'assure ainsi qu'aucune question importante n'a été oubliée.


Les différents types de questions au cours de l'entretien

- Questions ouvertes : questions auxquelles la personne peut donner ses propres réponses. Elles ont une fonction exploratoire qui vise à faciliter la prise de parole.

- Questions fermées : l'interviewer propose ici des réponses parmi lesquelles la personne est invitée à choisir.

- Questions indirectes : ces questions orientent le thème sur un plan général et laissent la personne organiser sa réponse et trier, classer, évaluer l'information comme elle l'entend.

- Questions projectives : ces questions invitent les personnes à quitter leur réalité propre pour se projeter dans une situation fictive, imaginaire. Il peut s'agir de questions relatives au futur imaginaire (ex : « quand vous saurez lire... ») ou des questions qui amènent l'individu à se mettre dans la peau de quelqu'un ( ex : « supposons que... »).


La question des silences

Le silence peut avoir plusieurs sens : il peut permettre à une émotion de se débloquer, de se verbaliser ; il peut amener une idée à s'enrichir, à se formuler plus précisément ; mais il peut aussi signifier un malaise.


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LA METHODE CLINICO-CRITIQUE ET L'ENTRETIEN CLINICO-CRITIQUE

La méthode d'entretien clinico-critique est à l'origine une méthode d'investigation en recherche (expérimentale). Aujourd'hui, elle est utilisée sur le terrain, notamment pour du diagnostic ou de la remédiation cognitive.

Historique de la méthode

Elle a été initiée par Piaget pour étudier la genèse des connaissances (épistémologie génétique). Postulat de base : le langage témoigne de la pensée (tout en ayant conscience que « le langage témoigne en quelque sorte sa propre logique qui fait écran à la logique réelle de l'enfant »).

Objectifs de la méthode

o Mettre en évidence les raisonnements, les manières de faire
o Dégager la structure du raisonnement qui est source de la réponse
o Dégager la logique qui sous-tend aussi bien l'erreur que la réussite

Définition

La méthode de l'entretien clinico-critique correspond à une interrogation guidée, un entretien semi-directif. Il s'agit de faire parler librement et spontanément l'enfant dans le but de comprendre les processus de son raisonnement. L'expérimentateur doit donc se laisser diriger mais, tout en dirigeant également l'enfant, afin qu'il ait des données précises mais propres à la pensée de l'enfant. Il y aura donc autant d'enfants que d'interrogatoires différents. Cette méthode consiste à faire varier les questions (sur un thème dirigé par l'interrogateur), et à ne pas prendre en compte les réponses telles quelles. Il faut amener le sujet à justifier ses réponses. Comme le souligne entre autres Vinh Bang (1966), il s'agit de solliciter des justifications et de proposer des contre-suggestions en présentant des avis, points de vue différents qu'ont d'autres enfants.

La contre suggestion : l'expérimentateur suggère à l'enfant une justification contraire à la sienne (« un petit garçon m'a dit l'autre jour que c'était plutôt ça... »). Il s'agit également de mettre l'enfant devant ses propres contradictions (affirmations contradictoires de manière à voir si l'enfant y est sensible ou non).

En effet, les contre-suggestions et suggestions sont utilisées dans le cadre de l'épistémologie génétique, non pas pour mesurer la solidité des arguments mais pour saisir l'activité logique profonde des sujets, c'est-à-dire son fonctionnement et ses structures, tandis que cette même méthode est utilisée en examen opératoire afin de voir si le sujet revient ou non sur ses premières réponses, c'est-à-dire s'il est mobile ou non dans son fonctionnement à dominance figurative ou opératoire.

Cette méthode ne s'appuie pas uniquement sur les réponses verbales mais aussi sur des manipulations concrètes de matériel afin que le langage ne soit pas le seul support de l'expérience.

C'est donc une méthode clinique : car individuelle, propre à chaque sujet, le choix des épreuves, leur passation et les consignes ne sont pas prédéterminés

Elle se dit « critique » car on demande à l'enfant de justifier, d'argumenter ses réponses par l'utilisation de suggestions et contre-suggestions.

Déroulement de l'entretien clinico-critique

La méthode de l'entretien clinico-critique suppose de respecter plusieurs conditions :

• Nécessité de préparer le déroulement de l'entretien (fil conducteur), mais il y a toujours une part d'inattendu qui suppose de s'adapter à l'enfant...
• Demander l'autorisation des parents, pour mener l'entretien et pour l'enregistrement vidéo.
• La séquence d'ouverture de l'entretien est très importante. Comment présenter le travail mené ? Que dire aux parents, que dire à l'enfant ? Il est important de fixer le cadre.
• Mise en confiance de l'enfant : moment très important !!

L'entretien clinico-critique se déroule de la façon suivante :

- Choisir un lieu qui permet de préserver la convivialité et la confidentialité.

- Présenter clairement le cadre et l'objectif de l'entretien ainsi que le plan et la durée de l'entretien.

Si l'expérience proposée à l'enfant nécessite des productions écrites, préciser à l'enfant qu'après nous allons garder son travail. Expliquer qu'il n'y a pas de réponses fausses ou réponses justes. ex : « ce qui m'intéresse c'est de savoir comment tu fais, comment tu penses ? Je vais te poser des questions : Il faut bien que tu me dises ce que toi tu penses ?

Si l'expérience nécessite la présence d'un autre observateur : expliquer sa présence, la prise de note « pour mieux se rappeler de tout ce qu'on a fait ensemble » (idem pour l'enregistrement), « pour montrer à mon professeur le travail que j'ai fait avec toi... ».

- Garantir l'anonymat de l'enfant, expliquer les règles de confidentialité.

- Demander la collaboration de l'enfant. Obtenir l'accord de l'enfant sur le fonctionnement proposé.

- Utiliser un vocabulaire adapté ! En fonction de l'âge de l'enfant, en évitant qu'il ne soit trop enfantin. Attention aux termes employés plus ou moins adéquats en fonction des situations. Par ex : éviter le terme « exercice » qui renvoie au scolaire...

- Vérifier la clarté et la compréhension de la consigne : attention à la double question : ne pas poser plusieurs questions à la fois dans une même phrase, c'est trop difficile pour les enfants.

- Laisser le temps de réflexion, laisser le temps à l'enfant de répondre.

- Neutralité : pas de jugement.

- Ne pas induire les réponses, ne pas les orienter, ne pas anticiper les réponses de l'enfant (c'est parfois plus difficile à contrôler qu'on ne le croit).

- A la fin de l'entretien : laisser une ouverture à l'enfant : est-ce que tu veux ajouter quelque chose ? Qu'est-ce que tu as pensé de ce que nous avons fait ensemble ?...

- Faire la synthèse à l'enfant de ce qui a été dit lors de l'entretien. Rappeler la suite qui sera donnée à sa contribution.

Avantages de cette méthode

• mettre en évidence le raisonnement du sujet.
• l'adaptation au sujet : on adapte les questions en fonction des réponses du sujet, on adapte son langage à celui de l'enfant.
• établissement d'une relation dynamique : échanges libres sur un sujet, on ne s'en tient pas uniquement à des questions fixes et standardisées.
• proposition de suggestions et contre-suggestions présentées comme l'avis d'un autre enfant et non comme une réponse bonne ou mauvaise (pas de jugement : favorise relation de confiance et émergence de la pensée propre au sujet).

Inconvénients de cette méthode

• Les limites liées à l'observateur et à son questionnement : le questionnement proposé au sujet peut varier selon l'expérimentateur : quelle influence l'expérimentateur a-t-il sur les réponses de l'enfant (et donc sur ce qui témoigne de son fonctionnement cognitif). L'attitude de l'expérimentateur est donc très importante pendant l'expérience, il s'agit de ne pas suggérer réponses (intonation de voix...).
• Les limites liées au langage : les mêmes réponses n'ont pas forcément les mêmes significations pour tous les enfants, un même vocabulaire employé n'a pas forcément le même sens pour l'enfant et celui qui interroge.
• Il n'y a pas de standardisation des procédures d'évaluation (puisqu'elle s'adapte à chaque enfant) ce qui rend difficile la comparaison des données.
• Il n'y a pas d'étalonnage (Piaget a travaillé sur un nombre peu important de sujets).
Toutefois si l'expérimentateur est conscient de ces limites, de ces difficultés, il pourra remédier en partie à certains de ces défauts.
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#Posté le jeudi 18 octobre 2007 12:55

L'expression des sentiments F. DOLTO


C'est par la parole, par la création, que l'être humain arrive à dépasser son sentiment d'impuissance ; il est voué à la souffrance, à cause de la disparité entre ses désirs, qui sont incommensurables, et l'impossibilité de les satisfaire. Il y a donc une souffrance fondamentale et nécessaire, que nous n'éviterons jamais.

Toutefois, ce que nous autres psychanalystes et psychothérapeutes pouvons promouvoir, c'est l'évitement des souffrances inutiles. Nous qui sommes les témoins privilégiés de tant de malheur, nous pouvons, si nous ne restons pas dans notre tour d'ivoire, aider par la parole, par la symbolisation, par la création, à ce que la disparité entre le désir et la réalité soit moins douloureuse, et que les souffrances inévitables trouvent à s'exprimer afin que la solitude n'ajoute pas l'angoisse à la souffrance.

Parents et maîtres ont sollicité mon avis sur le problème des sentiments et des émotions. La question était formulée ainsi : Bien des adultes ont derrière eux toute une éducation répressive du sentiment : "on ne crie pas", "on ne pleure pas", "sois un homme", "pas de sentiment", et l'on constate que leur c½ur se révolte fort souvent à leur insu, et de façon alors très irrationnelle. Qu'auriez-vous envie de dire, avant tout, à des parents de petits enfants, sur tout ce qui concerne l'expression des sentiments ? » Ce qui suit est ma réponse.


Sentiments et sensations, désirs et besoins

Le tout petit enfant traduit constamment des émois, des affects. Il exprime par des cris sa sécurité, sa joie, son inquiétude, son désagrément. Mais il exprime alors des sentiments qu'on peut difficilement dissocier des sensations. Ainsi des mères s'imaginent-elles qu'un petit enfant, parce qu'il crie, a besoin de quelque chose dans son corps : d'être changé, de manger, d'être secoué. Comme il se calme si on s'occupe de lui, on croit qu'il ne s'agit que de cela. Si bien que beaucoup de parents réduisent à des sensations les sentiments des enfants. Ils ne pensent qu'au corps et pas au c½ur à c½ur, à la nécessité d'une communication interpsychique avec la mère.

C'est aussi erroné de réduire les sensations à des sentiments, comme on le voit faire par des gens au crâne bourré de psychanalyse, qui pensent que l'enfant leur fait des tas de discours sentimentaux, alors qu'il en a simplement marre d'être assis de la même façon et qu'il voudrait bouger un peu !... Mais ce que l'enfant « désire » - je ne parle pas de besoin - c'est une communication continue à travers les absences de corps à corps.

Ce qui ne se fait pas si la mère, lorsqu'elle s'occupe de lui, s'occupe seulement de son corps: sans lui parler, sans lui dire par des modulations de la voix ce qu'elle ressent, ou ce qu'il ressent lui-même, en le lui traduisant.

Un ensemble à la fois sensoriel et émotionnel

Pendant les neuf mois de la vie intra-utérine, l'enfant est au contact constant des émois de la mère, qu'il partage d'une certaine manière par les variations perceptibles circulatoires, neurophysiologiques. Son oreille, dans les derniers mois de la grossesse, est très développée.

À travers une paroi qui le met en sécurité, il entend les sons, les paroles de sa mère à son entourage, il entend le monde d'échanges. Et puis, il y a tout d'un coup la naissance l'entrée dans un autre monde. Et il faudrait alors imaginer parce qu'il naît, qu'il n'est qu'un tube digestif qui ne pense et ne perçoit rien et doit rester immobile dans son berceau! Il entend, d'une tout autre manière maintenant! Et quelle force ont alors les sons...

Père et mère dont il discrimine l'odeur et la voix, déjà il les aime, il trouve avec eux reconnus sa sécurité. Ce dont il a besoin, c'est d'être compris d'eux, en tant qu'un ensemble à la fois sensoriel et émotionnel. Quand la mère s'occupe de son bébé, celui-ci a besoin que ce soit toujours modulé de paroles:

« Est-ce que tu as besoin de quelque chose? », « Ah, mais oui, tiens, ton oreiller n'était pas très bien placé », « Maman est là », «Je suis là»... Lorsqu'elle s'éloigne, et qu'elle a parlé d'elle-même ainsi, le bébé est rassuré parce qu'il a senti qu'il « comptait » pour sa maman: que celle-ci soit présente ou absente, elle est par la remémoration des sons de sa voix au bout de ses sentiments, en communication imaginaire avec lui.


Cris de « besoins » ou de « désir » de communication

C'est cela qui fait que le désir, mué en sentiment, se met à communiquer avec la mère. Une mère attentive fait très vite la différence entre une demande d'assistance physique et une demande de présence, autrement dit entre les cris de besoin et les cris de désir de communication. Et les cris de désir, ça ne veut pas dire qu'elle n'y va pas. Non, elle y va et lui parle: «Ah, le petit coquin, il veut m'empêcher de, etc.»; «Tu sais que je suis occupée : mais je ne t'oublie pas, je pense à toi... »

C'est alors que se fait chez l'enfant, très précocement, une discrimination entre des sensations qui demandent une proximité accompagnée de corps manipulé et ce qui se satisfait en lui de la communication interpsychique par la voix, à distance des corps, par des modulations qui prennent sens.

C'est très important que les mères - les pères aussi - apprennent que l'enfant a besoin de leur présence, de leur vue, de leur audition, sans corps à corps. Mais c'est difficile, parce que les sentiments des enfants se déguisent souvent en besoins, du fait que leur mère n'a traduit leur affection pour eux que par des soins du corps.

Emois, sensations, sentiments, monde extérieur

C'est le langage qui est la symbolique du croisement entre les sensations et les émois dans une rencontre inter-humaine: langage auditif, mimique, visuel, gestuel, d'un être qui est en communication interpsychique de désir avec cet enfant. Car un émoi tout seul, c'est une sensation, et une sensation toute seule, un faux émoi. Pour qu'il y ait « émoi », il faut qu'un autre être soit en résonance avec nous. Durant neuf mois, je le redis, des sensations et des émois se sont entrecroisés, dans la co-vivance de l'enfant avec sa mère, elle-même représentant du couple géniteur.

Après la naissance, les sensations de l'enfant se réduisent à lui-même. Et ses émois, s'il n'y a pas la communication avec un autre être proche de lui, restent alors à l'état de sensations. Il ne peut vivre que du souvenir hallucinatoire de l'époque antérieure, où il y avait des émois et des sensations médiatisés par des paroles autour; il n'y a aucune prise de code de communication avec des êtres humains du monde extérieur.

Pour que ce code s'installe dans un être humain, il faut qu'un être du monde extérieur, désirant la communication avec cet enfant, vienne à lui et donne sens aux mimiques qui révèlent son désir de communiquer inter-psychiquement, en traduisant ses émois par des paroles.


Emois, « Moi », tierce personne

Si le mot «émoi» veut dire quelque chose, c'est: il est sorti de son moi. Et pour le retrouver, il lui faut maman. Mais il ne faut pas toujours la maman du corps à corps: il lui faut « maman » », ou la voix du substitut maternel et de tout l'entourage de la maman, c'est-à-dire la vie tout autour, à laquelle il s'associe par des attitudes passives, qui sont l'écoute, et par des attitudes actives modulées, qui sont les cris et les lallations de bébé.

Mais on ne peut rien dire de cela dans l'absolu. Tout dépend en effet de la façon dont la mère a été elle-même maternée: sans le savoir, une mère vit comme elle a vu faire sa mère ou en faisant le contraire de ce qu'elle a vu faire par sa mère. Elle ne se doute pas de ce dont a besoin « cet enfant-là ».

C'est une question tout à fait individualisée. Ce ne peut être pensé par elle que si une troisième personne en parle avec elle autour de cet enfant. Cette tierce personne, ce peut être la concierge, une bonne d'enfants, une autre mère rencontrée dans la rue. C'est l'intervention de ce tiers qui peut faire qu'une mère pense à son enfant comme à un être « particulier », qui n'est pas une réplique d'elle-même, ni un enfant imaginaire, « son ½uvre » au possessif.

Il est une création nouvelle de la nature, qui n'est pas à élever comme un animal, qui n'est pas à « dresser », qui désire un c½ur à c½ur... Né impuissant physiquement, le petit d'homme attend en effet de l'adulte qu'il l'initie à la vie du c½ur et de l'esprit, et non pas seulement aux échanges ritualisés du commerce social, comme aux échanges digestifs bien réglés.

« Dressage » et rythmes naturels

« Dresser les enfants »: quel mot inhumain! Hélas: la rencontre des tiers va trop souvent dans ce sens... « Ah, moi, Madame, le mien il était propre à huit mois, parce que chaque fois que j'ai trouvé ses couches sales, je lui ai flanqué une fessée et maintenant il se le tient pour dit! » Et pourtant, l'enfant a besoin d'avoir ses propres rythmes d'excrétion. Il n'a pas le système nerveux terminé: il ne peut pas retenir ses excréments avant au moins dix-neuf mois pour les filles et vingt-deux mois pour les garçons... S'il le fait, ce n'est qu'en se greffant sur l'humeur de sa mère, en déniant son être de nature.

Les petits d'hommes sont tellement désireux d'avoir avec leur mère une communication interpsychique harmonieuse qu'ils peuvent modifier ou inhiber l'expression de leurs besoins: l'enfant est tellement adaptable au psychisme de l'adulte maternant qu'il arrive à aliéner ses propres rythmes au désir de robotisation que l'adulte lui impose.

Cet ordre est bien pire que celui que nous imposons aux animaux domestiques, qui eux naissent « continents », presque achevés dans leur système nerveux: nous les dressons à satisfaire leurs excrétions dans des lieux (espace) qui leur sont destinés, nous ne contrarions pas leurs rythmes (temps).


Désir de robotisation et dépendance du groupe

L'enfant ainsi contrarié - dérythmé - n'aura jamais, comme nous le disons dans notre jargon, des «pulsions anales », c'est-à-dire des pulsions utilisables pour faire, comme son désir le voudrait: le « faire » sublimé dans tout. Il ne saura jamais ce qu' «il » veut faire: c'est maman qui savait tout pour le caca et le pipi, et c'est malheureusement une métaphore de cet état qui se réalisera ensuite avec les mains, avec le corps, avec l'intelligence et pendant toute sa vie.

Il aura toujours besoin d'une loi extérieure, d'appels et d'injonctions extérieures, pour lui dire ce qu'il doit faire. Car il a commencé dans la vie par ne rien savoir de lui-même: c'est sa mère qui savait pour lui...; c'est un parasitage. Le cerveau d'une femme commande aux pulsions de besoins dans son bassin à lui.

Ces enfants, élevés ainsi, nous les voyons essayer de se coller dans des groupes quand ils sont jeunes, dans un groupe porteur dont ils ne sont qu'un petit élément, comme un enfant sur les bras d'un géant adulte. Alors, là, ils savent ce qu'ils veulent: ils veulent comme la troupe. Et l'école ne cherche pas à changer cette éducation de départ: elle ne cherche pas à ce que chacun pense comme il veut. Il faut savoir, penser, dire la même chose.

On n'est bien vu que si on répète les mêmes sottises ou les mêmes vérités déjà dites par quelqu'un, alors qu'on aurait pu faire soi-même les découvertes et surtout exprimer ce qu'on avait observé, compris, avec ses propres mots, mots émanant naturellement de l'expérience subjective de chacun. Comme les mères dresseuses au « faire » du bassin, l'école dresse à la langue de bois.

Le « c½ur à c½ur» et la « langue maternelle »

Le « c½ur à c½ur », c'est le « la » du diapason de l'enfant: c'est un climat. C'est le début du croisement des sensations avec les sentiments. C'est une mère qui, quoi qu'elle fasse, pense à son enfant. Et qui lui verbalise son émoi quand elle revient à lui, s'il est en train de crier et d'appeler: « J'étais loin, mais je ne t'oubliais pas... » C'est, dans le rythme et dans les modulations de la langue maternelle, un dire qui traduit et qui calme : ça traduit bien son émoi puisque ça le calme.

Si bien que, lorsque va revenir un émoi semblable, lorsqu'il aura fini de dormir et de digérer et qu'il sera de nouveau en attente de celle de qui il dépend en totalité, l'enfant aura dans sa mémoire la bande magnétique - si je peux dire - de ce qu'il a entendu à un moment de tension analogue.

Ainsi, très rapidement, vont lui venir des sonorités dans son larynx, lui permettant de constituer un espace auditif créé par lui et qui est une imitation de maman qui revient: d'une maman présente à ses oreilles...

C'est ainsi que la langue maternelle s'inscrit d'absences en présences et de présences en absences, d'une façon totalement inconsciente, dans les articulés glottiques et les muscles phonatoires qui, maladroitement, expriment rythmes et phonèmes de la langue qui lui est parlée, parce que c'est « sensé ». Et c'est « sensé », en ce qu'il y avait du « sens » dans tout ce que la maman faisait avec lui et que ça répondait à ce « sens » à lui d'attente. Si bien que les paroles se mettent à traduire les désirs de l'enfant, auquel la mère avait pu donner parole.


L'émoi n'a de sens que dans une relation...

L'enfant se reconnaît dans ses paroles de désir comme si la maman était déjà là: de ce fait, il n'est plus tout seul. Et le début du symbolisme des émois commence là: toujours par des paroles, des paroles à l'enfant qu'il désire réentendre et dont il se procure une approche phonétique qui lui fait se sentir un être « elle-est-là-maman ».

Donc je suis là: moi-elle, elle-moi, puis le père, son autre à elle. Puis, les autres de maman qui sont pour l'enfant des images des colloques que sa mère a avec d'autres êtres. Et c'est ainsi que ses émois prennent des couleurs de relations à toutes les personnes de l'entourage de la mère.

Quand un père rentre à la maison et met la télé ou la radio, et que le père et la mère ne parlent jamais à l'enfant, celui-ci est dans le désert de communication: la musique qui n'est pas croisée à des intentions se rapportant à lui, ça n'entre pas dans la communication. Mais si, en écoutant de la musique, le père ou la mère lui disent: « C'est beau, ça »ou le font danser, alors il a véritablement entendu cette musique.

Pour entendre, il faut qu'il y ait eu émoi et sensation en même temps. L'enfant n'a pas des émois tout seul. Et l'émoi n'a de sens que dans une relation à une personne déjà connue qui exprime ce qu'elle ressent à un autre.

Les émois de l'enfant se développent ainsi dans un espace dont celui de son corps inconsciemment est le centre, espace qui a été « mamaïsé » puis « mamapapaïsé ». Puis qui s'étend à l'un, à l'autre de cet un premier, à l'envi duquel il se découvre aussi autre de sa mère et autre de son père. Parfois à des objets et parfois à des animaux, parce qu'il les a vus avec sa maman et que celle-ci lui a dit quelques phonèmes à leur sujet.

Toutes ces entités perçues se mettent à être des satellites sensés de la dynamique corporelle et émotionnelle de sa maman. Il a été ainsi initié par sa mère au monde qui l'entoure, au-delà et en deçà de son absence: elle est en effet là, présente, en souvenir ou en évocation. Et lui, il est en sécurité.

Codes indéchiffrables lorsqu'il n'y a pas de paroles

Lorsqu'un enfant ne peut que crier - et on en entend qui crient ainsi jusqu'à trois ans - c'est qu'il n'y a pas eu cette modulation par la parole: il retourne à ce qu'il y a de plus primitif dans l'expression de son manque, il est déjà sans langage.

Il en est de même de l'enfant silencieux, tranquille, qui attend qu'on le change ou qu'on le nourrisse, avec lequel on n'a pas de conversation après chaque biberon, qui n'a jamais cet appel de la mère au moment où il est en état de désir ou de besoin, et qui ne peut pas traduire ses émois. Dieu sait pourtant que les mamans sont fières d'avoir dressé leur enfant à ne pas broncher jusqu'au moment où elles apportent le biberon!

Ces enfants-là connaissent plus tard bien des difficultés. Parce que, quoi qu'on fasse, et qu'on le sache ou non, la fonction symbolique est inhérente à son être au monde. Si elle s'exerce sans éléments phonatoires, visuels, tactiles, cinétiques, elle fonctionne forcément sur des éléments différentiels éprouvés dans les sensations: la plénitude de l'estomac, le vomir, les gargouillis du ventre, les pets, les sorties d'excréments, ainsi que les bruits du monde extérieur, dépourvus de sens pour n'avoir pas été nommés et qui, se collant par coïncidence dans le temps à ses sensations physiques, leur donnent illusion de langage...

Et tout ceci établit pour l'enfant, dans le silence, un code indéchiffrable pour la société. La fonction symbolique s'est structurée complètement en vase clos, au lieu de se coder dans la relation émotionnelle à distance - et en présence - de la mère. Tout semble indifférent à cet enfant de langage autiste.


Le monde ennemi ou ami

Nombre d'enfants, parmi ceux que nous soignons, font à longueur de temps des bruits de chose de métal. Parce que c'est tout ce qu'ils ont eu de la maman, sans jamais savoir ce que cela représentait: ils entendaient les casseroles et il arrivait que cela se croise avec leurs tensions de besoin ou de désir.

Cela ne veut pas dire que la mère ait à interrompre ses occupations de ménagère, mais qu'elle verbalise à l'enfant - par-delà l'espace qui les sépare - ce qu'elle fait: si bien que les bruits mêmes de la maison prennent sens. Elle peut dire, par exemple: « Ah, tu entends ce bruit? C'est l'aspirateur... » Elle prendra son petit sur le bras, et lui fera tenir l'aspirateur. Ça aura un sens. Cet appareil sera un ami puisque maman lui en parle, qu'elle touche - « joue avec » - et qu'elle lui montre à le faire aussi.

Les enfants, c'est connu, ont peur de la chasse d'eau: parce que c'est là que la maman jette leurs excréments. Et c'est très important, pour l'enfant, l'excrément. C'est ce qu'il avait en lui, qui lui a tenu chaud, qui est sorti de lui, parfois qu'il a donné: c'est une partie de lui qui s'en va... Or, la plupart du temps, la maman l'emporte, il n'y a plus rien, et chaque fois il sait que ça se termine par la chasse d'eau: la chasse d'eau, c'est le son qui est associé à ce qui de lui peut être emporté, puisque l'eau est emportée avec l'excrément et que les excréments sont emportés avec elle. Ça emporte tout le monde, les chasses d'eau!

Mais si la maman a son bébé sur les bras lorsqu'elle porte au W.-C. son caca, qu'elle lui fait tirer la chasse d'eau, qu'elle lui dit en regardant: « Tu vois, quand on tire la chasse d'eau, ton caca descend par des tuyaux, puis il s'en va à la rivière, puis ça fait pousser les fleurs », alors le cosmos tout entier prend sens pour l'enfant, puisque celui-ci est en communication avec lui à travers ses besoins et à travers les paroles et les émois de sa mère.

À quinze, seize ou dix-sept mois, le cycle de l'azote, c'est comme ça qu'on l'enseigne! Tout ce monde devient ami, l'enfant y contribue et il y a sa place, comme toutes les autres personnes et créatures vivantes. Ses besoins naturels le font participer comme tous à l'ensemble des échanges d'énergie.

La visite des champs d'épandage, dès trois ans et même avant, est pour cet âge une visite « culturelle », l'initiant en tant qu'humain coopérateur à la régie des besoins d'hygiène agro-alimentaire. Les besoins et leur maîtrise sont activité noble.

L'école :un lieu où il ne faut pas communiquer

Et partout, c'est la même chose! Les enfants auraient leur place à l'école si les professeurs leur disaient: « Si je n'étais pas professeur, je n'aurais pas de quoi gagner ma vie: c'est vous qui faites que je suis payé. Et moi, je suis à votre service pour que vous appreniez ce qui vous intéresse...» Mais ce n'est pas cela du tout! C'est le monde à l'envers.

Les enfants sont au service de la maîtresse pour qu'elle jouisse de les emmerder avec des choses qui ne les intéressent pas. Alors qu'elle est là au service de leur intelligence, pour répondre à tout ce qui les questionne - mais on ne le leur signifie pas.

La maîtresse, en imposant le silence, empêche les enfants de communiquer. L'école, c'est un lieu où il ne faut pas faire du bruit, pas parler, pas communiquer, pas dire ce qu'on pense de ce que la maîtresse vient de dire : « Veux-tu te taire pendant que je parle... » alors qu'elle pourrait dire: « Qu'est-ce que tu as dit?... Ah, ce n'est pas tout à fait la question. Je vais te répondre tout à l'heure... Si nous écoutions maintenant ce que votre camarade a dit. Ah, il a pensé à ça! Oui, c'est vrai: j'avais dit un mot qui y ressemble, ou bien un mot qui, suivant la façon dont il est écrit, a deux sens », etc.

Il y a des enfants qui font des associations verbales surprenantes. Ça fait rire tous leurs camarades, surtout ceux qui veulent faire la cour à la maîtresse, qui sont déjà aliénés, dans la dépendance. Et pourtant, Voilà enfin un marginal: qu'elle en profite, la maîtresse! C'est justement ce marginal qui est intelligent. Il a peut-être fait une association hors de propos, mais qui avait un intérêt: ça permet par exemple de voir ce que c'est qu'un synonyme. Et l'expliquer à tous. C'est cela, l'accueil symbolique de l'être humain par la société.

Or d'habitude on accueille seulement le corps ou plutôt la viande sur pied... On n'accueille pas « l'être désirant ». On n'accueille pas tous ses questionnements, y compris ceux auxquels la maîtresse ou le maître n'ont pas de réponse.


Le «répétitif » ou les émois qui se sont rencontrés

C'est pour cela que les disciplines passionnantes qu'on met soi-disant à la portée des enfants n'ont aucun sens pour eux et - comme dit l'autre dans sa chanson qu'elles les « emmerdent ». La maîtresse demande à l'enfant de lui dire ce qu'elle-même sait déjà : il ne peut pas y avoir d'échange!

Il faut vraiment que l'enfant soit déjà aliéné à la soumission au pouvoir pour accepter une pareille dépendance... Elle demande d'apprendre une leçon: or elle sait, elle, ce qu'il y a dans la leçon. Si elle le sait, pourquoi demande-t-elle de le répéter, au lieu que la classe soit tout le temps animée d'une recherche, que l'on fait tous ensemble?

Si la maîtresse veut éveiller chez l'enfant l'envie de découvrir, il faut qu'elle se mette en recherche avec lui; qu'elle lui montre, si elle sait quelque chose, où et comment elle l'a appris; qu'elle fasse dire à chacun ce qu'il pense; qu'elle traduise elle aussi ce qu'elle ressent; qu'on mette ensemble des paroles sur les émois qu'on ne sait pas traduire; et puis qu'on choisisse ensemble une manière d'exprimer, en langage, les émois et les sensations qui se sont rencontrés... Sous prétexte de programme à suivre, on oublie l'éveil de l'esprit qui ne se fait que dans la découverte personnelle, reconnue valable par les autres.

C'est cela que devrait être tout travail de l'école, tant secondaire que primaire. Evidemment, il y a aussi les notions que chacun de nous ne peut pas expérimenter et pour lesquelles on s'en rapporte à ceux qui les ont expérimentées déjà. Mais alors, il faut le dire. J'imagine qu'on parle des fleuves qui coulent en France.

Il faut que les médiations soient faites pour que l'enfant sache ce qu'ont été les explorateurs, pour qu'il découvre ce que ça veut dire de faire une carte, de remonter à la source d'un fleuve, de lui donner un nom, de parler des hommes qui, par nécessité et sécurité, ont bâti auprès leurs demeures et ont donné nom aux villes qui jalonnent ce fleuve.

Nous ne savons rien, dans quelque domaine que ce soit, que par le témoignage de ceux qui ont exploré et donné sens à ce qu'ils ont vécu. Toute connaissance n'a de sens qu'à travers les humains qui ont laissé témoignage... Même chose pour la maîtresse lorsqu'elle explique, à ceux qui veulent aller à la même source qu'elle, dans quel livre elle a trouvé les choses: un livre écrit par « quelqu'un », et non pas un manuel qui a pris dans un manuel qui a pris dans un manuel qui a pris dans un manuel... On en arrive maintenant, avec des enfants, à des réponses déconcertantes lorsqu'on leur demande les choses les plus simples de leur vie.

Comment ils sont vêtus, par exemple. « Qu'est-ce que c'est que ça? - C'est mon blouson. - D'où est-ce qu'il vient, qui te l'a fait? - Maman l'a acheté... - Elle l'a acheté où? - Dans le magasin. - Et le magasin? - Il l'a acheté dans un magasin... - Et le magasin? - Dans un autre magasin... - Mais qui l'a fait? - Ah, mais un magasin... - Avec quoi c'est fait?»... Personne ne sait. On n'en vient jamais ni à la matière première, ni au découvreur, ni au témoin, ni au travail de cette matière première, ni au talent, ni au prix du travail, qui non seulement est argent mais ½uvre d'hommes associés à d'autres hommes.

Sur les gestes, mettre des paroles

On voit pourtant des écoles dites « actives » qui y arrivent, parce que les maîtres sont très humbles. Ils n'en savent pas plus que les enfants devant ce que l'on fait: tout le monde se met du même côté par rapport à la réalité en jeu. Et c'est ça justement qu'on appelle une école active: une école où l'enfant est laissé à ses initiatives face à la réalité des choses mises à sa disposition.

L'enfant est créatif et ludique. De lui-même. Si personne ne l'embête, il explore tout. Parfois, il risque des dangers. Le seul rôle des adultes, c'est d'empêcher les dangers dont l'enfant n'a pas conscience, faute d'une expérience de son corps dans l'espace. L'expression verbale n'est recherchée qu'ensuite.

L'adulte se sent une responsabilité vis-à-vis des petits qui ne savent pas encore se défendre eux-mêmes. Mais nous interprétons parfois très mal des gestes. Un enfant semble agresser son voisin, alors qu'il a seulement voulu lui tirer le bras. L'autre lui dit: « Ah, laisse-moi....

- Tu sais, il t'a tiré parce qu'il voulait que tu regardes ce qu'il faisait... - Ah oui, mais je n'ai pas le temps... - Mais dis-le-lui: "Je n'ai pas le temps." Mais ne lui crie pas après... Parle. »

Et puis, le même langage pour l'autre: « Dis-lui: "Regarde ce que je fais." Tu vois, en le tirant par la manche, lu viens de lui faire renverser ce qu'il était en train de faire... » Laissez donc les enfants avoir des gestes et, sur ces gestes, mettez des paroles justes mais non moralisatrices.


Grâce à la formation des maîtres spécialisés

Beaucoup d'enseignants rendent intéressant ce qu'ils font avec les enfants parce que ce n'est pas, pour eux, une répétition: ça les intéresse. Alors, les enfants sont contaminés par leur intérêt. On en entend parfois dire: « Ils sont dingues, ceux qui s'intéressent aux maths... Mais ce professeur-là, il arrive à ce que tout le monde s'y intéresse. » Bien sûr, il y en a toujours qui résistent.

Mais pourquoi pas? Un professeur qui s'intéresse vraiment à ce qu'il fait, il respecte ceux que cela n'intéresse pas: « Je vous comprends très bien! Apportez un roman, faites ce que vous voulez, mais ne gênez pas ceux que cela intéresse... » Il leur parle. Il ne les agresse pas. Il ne se sent pas frustré. Il les plaint plutôt de ne pas s'intéresser à ce qui fait sa joie. Mais, puisque cela ne les intéresse pas, qu'ils fassent au moins quelque chose de consolant!

Rien n'est plus mortel et plus mortifère que de répéter quelque chose où le désir n'est pas en jeu. Il faut reconnaître que c'est bien difficile pour un maître, lorsqu'il est obligé de s'assujettir au morcellement des horaires officiels. Mais cela change. Peu à peu. Et grâce à quoi? Grâce à la formation des maîtres spécialisés pour les enfants en difficulté. Il n'y aura bientôt plus que ces enfants marginaux, résistants aux codes courants, qui auront les maîtres ayant le droit d'être intelligents, inventifs.

On sait ce qu'il leur faut, à ceux-là: le talent de réveiller chez les enfants qui sont leurs élèves le désir de communiquer et d'essayer de les dé-phobiser par rapport à l'école et au « scolaire ».

Ceux-là ont le sentiment d'avoir droit à la recherche parce que les inspecteurs, dépassés, sont moins rivés sur le programme et les « méthodes », et leur laissent prendre des initiatives. Mais à quoi rime d'enseigner à tout prix tel programme à des enfants qui n'en ont pas l'appétit: surtout si cela ennuie les maîtres eux-mêmes!
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#Posté le mercredi 17 octobre 2007 18:13

PSYCHOLOGIE CLINIQUE

PLAN:
I. Psychologie clinique
1. Historique
2. Définition
3. Methode
4. Travail du psychologue
5. Psychothérapie


II. La psychanalyse
1. Historique (Freud)
2. La métapsychologie
3. la technique psychanalitique


III. Approches théoriques du devel.
1. La psychanalyse
2. théorie de l'attachement




I.Psycho clinique.

1. Historique.

Psychologie : branche de la philo, elle se separent au 19eme siecle
Clinique: du grec "cline" cad le lit dc soigner au "lit" du patient;

Le term clinik est une activiT et un ensemble de connaissances mais c egalement un lieux
La Psycho date de la 2éme Guerre Mondiale, mais on trouve ce genre de thérapie depuis l'antikiT. On en trouve des racines =ment au 18éme siecle, elle est =ment issue de la Psychologie expérimentale et differentielle.

A) La tradition psychiatrique
Pinel , a fait bcp pour les malades mentaux; il considere kil faut les traiter comme des humains (18éme siecle), il a déciD de les detacher (de leurs chaînes) et de leurs parlés.
Il tente de comprendre le malade, et leur porte un interet. Une ecoute du patient s'instale, dou recueil d'info=> dossier du patient.

B)Psycho generale et expé
la Psycho expérimentale donne de mesure qui permette d'évaluer les patients en Psycho clinik. (test de QI...)

C)Psycho Differentielle.
Etudes des différences entre individus, la Psycho clinik se sert de certaine mesure...

D) Les pere fondateurs.
WITMER Psychologue ricain, le premier a utiliser le terme de Psycho clinik (1893)
KRAEPELIN Psychiatre allemand, son travail permis énormément de progrès en psyco clinik, il a contribué au devel de la psycho clinik
JANET Pierre, DCD 1947, français, philosophe, medecin, a fé bcp pour la Psycho clinik, syst d'écoute des patient
FREUD, psychanaliste, il a permit une nouelle approche de la psycho clinik.

Witmer recueillait des info en parlant aux patient, develloP pdt la 1ere GM on cherchait les meilleurs Guerriers, resistance au stress...
Des gens se sont mis a evaluer des sujets sur divers capacitées
Premier diplome de Psycho clinik Français 1947

2.DEFINITION:
Les buts de la Psycho clinik: c une activiT pratik, et ensemble de théorie et de methode.
Daniel Lagache dit: L'obj de la Psycho clinik, c L'etre Humain porteur d'un pb ou un pb mal résolut.
Elle ne s'adresse dc pas forcément a des "malades mentaux".
Rech de l'origine du pb, comment le pb etai combatu?
Lagache a dis : Le but de la Psycho clinic: conseiller, guerir et eduker.
Regler les pb de "disfonctionnement" du patient.
La Psycho tient compte de l'individu et de son entourage, son environnement.
La Psycho s'interresse sur le dvp "normal" de la personne et le dvp de personne ayant des troubles Psycho.

Lagache: La Psycho observe la vie Psycho elle meme comme un tout concret et réel, elle poursuit le dvt normal et pathologique de la personnalité; elle etudie la conduite humaine individuelle et ses condition ( herediten maturation, condition physio, pathologique et l'histoire du suj) CAD l'étude la pers totale et de la situation.
la Psycho Respecte la différence de chaque individus, on s'interresse a son dvt, son enfance, etc...
Mme Favez Boutonnier, a bcp participer au dvt de la Psycho clinik sur l'aspect unik et respectif de chak individu, il faut considéré chaques k individuellement. Elle a bcp contribué a la différentiation des medecins et des psy.
Anzieu Didier: Def Psycho clinik: Psycho individuelle et social, normale et patho, elle concerne nouveau né, l'enfant, l'adolescent, le jeune adulte, l'homme mure, l'etre viellissant et enfin mourant.
Exprimer qu'une difficulT peut cacher autre chose de + impt.
Le but de la Psycho clinik est d'étudier le suj, d'évaluer ses performance, son fonctionnement, ses difficultées pour proposer une thérapie. Possibilité d'un role de prévention de individus a risques, prévention de l'apparition de certains troubles. Evaluation, prévention =>domaine de la Psycho clinik.

Garder une cohérence dans sa "file" de vie, garder la cohérence de la vie de chaques individus. Notion de permanence: retracer la cohérence dans la vie de l'individu.

3. Méthode Clinique.

A. Observation:
C l'ensemble des technik ke va utiliser le cliniciens. elle se sert bcp de l'observation, l'entretient, avec le patient et les réaction du suj ds une situation bien précise.
Rech d'info sur le fct d'un suj.
Cette meth clinik permet d'évaluer le fct psychik et les aptitude, le comportement du sujet. On en déduit le ou les pbs du sujet pour pouvoir proposer une "solution" au sujet (aider le suj a regler ses pbs).
On laisse le sujet le + libre possible pour s'exprimer, on le laisse présenter les choses de la foçon kil veut. Lors de cette "investigation clinik" (entretient clinik, evaluation clinik...) on recupere un max d'info.
On peut demander une evaluation pour prévenir un pb éventuel, suicide...
"doser" le "taux" d'anxiéter ou autre.

On a rarement un choix perso d'aller voir un psychologue, mais qqu demande un "examen", il est impt, de savoir qui a envoyer le patient ici.
Il faut amener le sujet a formuler le pb.
On voit souvent des pb confus qui se cachent derriere quelque chose, seul aprés l'instalation d'un climat de confiance, on peut atteindre le vrai pb. Le psychologue doit bien garder en tete le cheminement de la demande.
Impt d'ammener le patient a prendre conscience de ses difficultées.
Le psychologue doit voir ce que dit et ce que fait le sujet pendant l'entrtient (il faut préter attention a tt, mvt...).
Qd et comment les premières difficultées du sujet ont commencées. Il faut différentier le diagnostik medicale et le diag psycho, son but est d'expliquer l'origine du trouble et on propose ensuite une prise en charge.
On tient aussi compte du comportement sentimental du sujet (affect, emotions du patient et ceux qu'il fè epprouver au psychologue)
• Le Psychologue doit bien surveiller ses émotions, c très impt.
C avec cette relation de confiance avec le patient qu'il peu l'aider.
Le psycho doit comprendre le processus de penser du patient, son fonctionnement psychique.
La plupart du temps, il n'y a aucun moyen de revenir sur ce qui ce passe car on ne fait aucun enregistrement. On assiste parfois a des thérapie familliale qui sont souvent filmées pour revoir les réactions des patients. Lors d'un test, on observe également les réaction du patient.

B) L'entretient clinique:
Il existe des thérapie qui ne passent pas par la parole, mais elles sont très rare, 90% des entretient se pasent par la parole.
Un entretien clinique ne passe que par le language, il n'y a aucun contact physique entre le psycho et le patient (sauf exeption).
Ds l'entretient clinique, les 2 personnes ne sont pas "symétriques", le suj est demandeur et le psycho est sensé avoir un savoir qui peut servir au patient. Le patient parle de lui et le psycho écoute. Le patient ne parle pas au psycho comme a un ami ou une connaissance, il ne fait aucun commentaire sur ce que dit ou fait le patient, d'ailleurs, il ne répond pas forcement a ses questions. C parce que psycho est un psycho que ca se passe comme ça.
Le "dialogue" ne tourne pa non plus a un interrogatoire, c n entretient non directif, c le patient qui est libre de parler de ce qu'il veut. Le patient a plus de facilité a parles lorsque le psycho parle peu. Il met en confiance le sujet. Le patient a certaines rétissance consciente, mais aussi des resistance inconscientes que le sujet ne controle pas. Le psycho n'est pas la pour savoir la vérité a tt prix il n'a que le pt de vue du patient, ce ui compte, comment le patient a vécut la situation. Le plus impt c pas ce ui est dit, mais la manière dont le patient le dit.
La "neutralité bienveillante" (Freud) est l'état que doit adopté le psycho. Le psycho doit donner l'impression de comprendre pour inciter le patient a continuer. Mais, le psycho ne peut pas rester ss sentiment face au client, mais il doit se controler. La neutralité bienveillante n'est pas un masque, mais une attitude active. Souvent au début le patient pose des question au psycho, mais le psycho se doit de ne pas y répondre.
Le psycho pose des questions assée large pour que le patient n'ait pas l'impression d'un interrogatoir, certains client on besoin de + de questions ke d'autre. Le psycho doit surveiller le "non dit" de l'entretient en surveillant les mimiques et les réactions du patient. Ds un deuxième temps, le psycho donne qq interprétation au client sur ce qu'il pense etre le fct du patient.
Qd il y a une relation d'entretient entre patient et psycho il y a des élément mobilisé de la part des deux personne,

L'identification
C un phénomène ui apparait au cours de l'entretient clinique. C une compréhension enpathique du suj par le psycho.Celui ci s'identifie un peu au suj pour mieux le comprendre, se met a son niv pour ce qui est du language. Le psycho se dit: ke pourrais je faire si J'était le patient dans cette situation (il adopte le pt de vue du patient). Mais il faut ke le psycho garde qd meme un éloignement face au patient pour ne pas limiter le travail. De meme qu'il ne faut pas que la psycho s'identifie a quelqu'un d'autre que le patient (qq de son entourage par ex (au patient)).
Il faut aussi que le psycho ne s'identifie pas au premier aspect des patient, car aux premier entretient, ils ne sont pas naturels, les psycho doivent rester patient pour connaitre la vraie personalité du patient et passer au dela de la déffense que le patient a placé.

La Projection.
C'est expulser de soi et localiser chez une autre personne des sentiments et des désire que l'on refuse soi meme. C comme lorque l'on dit a qq qu'il ressent certain sentiment alors que c nous meme qui l'épprouvons. Ca arrive ds l'entretient et ce sera le psycho qui en sera "victime", le psycho doit s'en redre compte et le montrer au patient. La projection agit comme un syst de défense, et il est souvent difficile de permettre au client de s'en débarasser.

Le transfert.
C un meca issue de la psychanalyse, c l'ensemble des sentients inconscients que le patient éprouve pour le psycho, la théorie psychanalytik, c ke ds cette situation d'entretient particuliaire, le patient éprouve tjrs des sentiments déjà vécus pour une personne de son entourage (mère, père,...) ce sont des sentiment positifs ou négatifs. Le patient aura dc le meme attitudes qu'il a eu avec le personne du "passé". Le psycho doit pouvoir repere ca pour le signaler au patient et que celui ci en prenne conscience. Le clinicien étant neutre, il est très facile pour le patient de faire le transfert. Le transfert positif sera amitié, amour, ou autre (en gal pratique au deb), mais si c un transfert neg, il y a poss de haine, jalousie, ou autre. Losque le transfert neg est trop impt, ca peu ralentir, voir bloqué le traitement.

Le contre-transfert.
C l'ensemble des sentiments que le psycho eprouve au transfert de son patient. Le psycho percoit inconsciament le transfert de son patient et il réagira. Il doit donc etre a l'écoute de lui-meme, pour analyser eet interpréter ses sentiments et réactions. Il ne faut pas que l'entretient soit trop parasiter par ce type de sentiments. Mais le psycho a le droit de refuser un patient qui a un lourd passe car le psycho peut etre trop impliquer et ma faire son travail. Le code de déonthologie du psycho permet au psycho de refuser ou renvoyer un patient. Le psycho clinicien est soumis au secret professionnel. Mais le psycho ne doit pas réagir négativement en cours d'entretient si il se rend compte d'"une incompatibilité d'humeur".

La communication non verbale.
Il est très impt de voir les gestes du patient et de voir s'il sont "cohérent" avec son discours (voir si ce qu'il nous dit = ce qu'il ressent). Le patient n'a pas conscience de ce qui se passe non verballement. Ce qui compte en premier, c la mimique du patient (C le preumier moy de com (BB)), ensuite, c le regard qui est le + impt c impt de voir si en entretient, le patient cherche le regard du clinicien, puis vient la bouche. Puis vient tt ce qui est de l'ordre de la posture (a l'aise ou pas, bcp de mvt ou pas...), voir aussi la position des mains, l'occupation de l'espace compte également. Le psycho doit aussi surveiller sa communication non verbale. Il faut aussi faire attention a la voix, la tonalité. Il faut aussi surveiller les silence du patient, il peut aussi bien s'agir d'une réflexion qu'un malalaise...

Entretients avec enfant.
Le tt petit enfant viendra avec sa mère ou qq de son entourage. On fait parfois un très gros travail d'observation sur les BB. Comment la mère réagit par rapport a l'enfant... Le BB est très sensibles aux climats affectifs. Un enfant un peu + grd pourra se déplacer de lui meme dans la pièce ou "officie" le psycho, explorer, jouer... Le psycho surveillera bcp les réacton de la mère.
Qd l'enfant peut parler, on arrive a une communication + ou - coupée par la mère. Mais des que possible, le psycho essaiera de voir l'enfant seul. Chaque psycho a sa technique: dessin, jouets, parole... mais qq fois l'enfant est trop timide pour "bouger" avant 2 ou 3 scéances. Ensuite, on demande a l'enfant d'expliquer ce qu'il fait: son jeux, son dessin...
Par la suite, le psycho regarde si l'enfant est cohérent avec on age, s'il est bien inséré ds la réalitée ou pas... (le jeu ou le dessin est svt un bon médiateur.) Les jeux st souvents libre ou l'enfant fait les règles, c lui qui décide a koi on va jouer. L'enfant qui consulte a svt été prévenu, mais il oublie. Dc le psycho lui explique pourquoi il est la, etc... En général l'enfant entre vite en conscience avec le psycho. Il est impt pour la confiance que l'enfant sache que le psycho gardera tt pour lui et ne le répètera a personne.
Mélanie KLEIN avait une boite avec des pt obets (animaux, poupées, papiers crayons, eau...). Elle pensait que l'enfant rejouait des scènes de leur entourage, il fera dc part de leur reve et autre sentiment. Ensuite, elle faisait part a l'enfant de ce qu'elle avait compris.
Donald WINNICOTT a inventé une technique qui consistait a faire un "trait" et l'enfant le transforme pour le faire représenter ce qu'il veut et pour que tt reste ludique, il y a echange des roles.
Ds l'entretien avec enfant, le psycho donne une certaine qualité de communication, de plus, le psycho vas essayer d'explquer a l'enfant les choses qu'il ne comprend pas. Svt, on décuvre que l'enfant n'est qu'un symptome d'un alaie familiale, on proposera alors souvent une thérapie familiale.

Entretient avec adolescent.
Les psycho qui travaillent avec des ado ne bossent qu'avec des ados. C un age charnière, de passage a l'age adulte. Mais on ne peut pas non plus devenir un 'copain' de l'ado. Tout ce passe par la verbalisation, il ne veut pls jouer ou dessine. Il montrera dc plus de réticence. L'ado essaie de quitter cet état d'enfance, il a besoin de ses parent, mais en meme temps, il veut les rejetter. Il en a marre de ses parent avec svt un desir d'identification au parent inconscient. C le moment de se poser des question metaphysique, donc malaise ds la société. Il peut aussi rester tjrs avec un gp de copain, ou s'isoler. C un age ou l'on voit croitre les tentatives de suicide ce qui peut conduire a aller voir un psycho. Une tentative de passage a l'acte sur un mode déliquent ou pas.
Les parent essaie d'adopter l'attitude la moins pire. Leur faire confiance et leur laisser un degrés d'autonomie suffisant. Mais il faut tt de meme garder ce role de parent pour ne as tomber ds l'exces inverse. Pour l'ado, il faut que les parents et le psycho ai l'air solide moralement, pour donner une sorte de modèle. Il faut qq de solide, qui ne sera pas totalement d'accords avec l'ado. Il ne faut pas que l'ado vois un adulte qui n'a pas confiance en lui. Il faut que la psycho puisse s'identifier a l'ado et aux parents mais pas trop, ni de l'un, ni de l'autre. En general, c les prents qui envoient les ado chez le psycho. Au cours de entretiens, le psycho va essayer de tenir cette place entre l'adulte et l'ado pour aider la patient a s'exprimer, a parler.

Entretiens de recherche.
Une partie des psycho font de la recherche (par ex au CNRS,...), soit a plein tps, soit a coté des autre boulots. On ne peut pas faire d'entretiens clinique et de rech en meme tps. En general, on voit les patients qui on deja un diagnostique posé (c le chercheur qui est le demandeur cette fois ci). Le but de ce type d'entretient est de bien preciser au patient que l'on rech qqch et que l'on pourra donner des info sur lui après.

Les entretien non directif.
On pose une question très large au patient et on le laisse divaguer, comme celui-ci veut. C le patient qui dirige.
Entretien semi directif
Le psycho pose un certain nb de Q pour que le patient réponde, il prend le tps qu'il veut. Les questions sont établies a l'avance, mais peu importe l'ordre et la manière dont sont posées les questions. (le tps est dc très variable)
Entretien directif ou standardisé
Entretients standard, un certain nb de Q sont préparé ds un ordre précis, les réponses st svt plus concises.
Entretien a Q fermé.
Réponses par oui ou non, ou ds ce genre (très concit).

On alterne svt les entretients, selon ce que l'on veut savoir.

Ccl: Le patient s'adresse a un psycho qui a les connaissances adequates. De plus ces entretient vont mobiliser des choses ds la vie psychique du patient en faisant appel a son inconscient. Tt entretient a un effet sur la vie psychique du patient. C pourquoi l'on prévoi en general plusieur entretient avec un patient (on prévoit svt le nb de scéances a l'avances.) Qqch de dinamique se produit, chez le patient et chez le psycho.
Son but est de faire parler le patient, et laisser le psycho écouter le patient. Le suj se trouvera svt libéré d'avoir parlé de choses qu'il avait sur le coeur. Mnt l'entretient clinique est l'outil essentiel du clinicien (pour avoir des info), après le psycho propose d'autre tests, pour completer les info, pour comprendre le psychisme du patient, ses défenses psychique, sa façon de se comporter avac les autres (familles, collègue,...).


C. LES TESTS.
les tests font partie de a "psychométrie", ce st tt ce qui permet de mesurer un fct psychologique. C test ont été élaborer pour comporer des patient entre eux. Ils st apparuent au deb du siècle en france (1905), le premier a avoir proposer des tests était BINET. Les travaux se sont orienter vers la personnalité des sujet, ca a donner lieux a tt les test projectif. Les résultat permettent aussi de mesurer l'effet des médicaments sur les patients, on a dc construt bcp d'echelles pour ces mesures.
C'est un outil du psychologue clinicien (C la seule profession a qui l'on donne les connaissance pour). PICHOT a enormément travaillé a l'evolution du test
"le test est une situation standardisée servant de stimulus a un comportement qui es t évalué par comparaisons stat avec celui d'individus places ds la meme situation, afin de classer le sujet soit quantitativement soit Typologiuement"
Normalement, deux psycho qui font le meme test avec le meme pers aura les meme résultat, car il n'y a qu'une manière de les interpréter.

Tests d'aptitudes:
Mesure d'une seule aptitude (mem, ...)
Tt ces tests la mesure une aptitude en particulier.
Tests de developpement.
Pour l'enfant, pour situer si l'enfant est en avance, en retard ou ds la norme par rapp a son age, ou s'il a des différences ds les secteur, au niv de l'avance ou pas.
Tests d'intellignece.
Constitué d'une baterie de tests pour évoluer un "Q.I.". Ces test ont été remis en question pour de nombreuses choses, mais ils fournissent qd meme des infos. Mais ce n'est pas un reflet complet du fct du suj (ca depend: origines soc,...).
Les test d'int le + connut est le WAIS (wescheler adult intelligence scale) 1939 aux EU, il permet de calculer tt d'abord un QI verbal, puis un QI de performance, puis un QI globale. L'avantge, c kil perment de calculer un quotient de déterioration, pour voir si le suj agé a des grosses perte intellectuelle ou pas. Ce test est compose de 11 petit test (entre 3/4 h et 2 h).
- Information (connaissance général du suj, culture générale)
- Vocabulaire (mot plus deffinission)
- Compréhension (evaluations des comportement quotidiens,... Q de jugement & bon sens)
- arytmétique (calcul mental, calcul del' inertie mentale)
- Similitude (entre 2 obj pourquoi ca se ressembles)
- Memoire des chiffres
- épreuve de code (des chiffre avec des syboles, association de chiffre en signe ou symbole, on mesure la vitesse...)
- épreuves des cubes (6 a 9 cobes de 2 couleurs, ils doivent reconstituer un dessin le plus vite possible avec les cubes)
- epreuve de complètement d'img (un dessin a trou, on demande de remarquer ce qui manque)
- epreuve d'arrangement d'img (découpage d'une BD a remettre ds l'ordre)
- assemblage d'objet ("puzzle").
Tte les épreuves st chronométrées et on un tps limite. Pdt les épreuves, le psycho regarde l'attitude du sujet, on a donc des info aussi par l'obs.

Tests de personnalité.
But: faire ressortir des element de la vie psychique du suj, indescellable ds les entretients. Obtention d'une confirmation de l'entretient clinique
- Inventaire:
MMPI (inventaire multiphasique de personnalité du minesota). C un test qui se compose de 550 carte mélangé que le patient doit trier en 2 tas, "ca me ressemble", "ca me ressemble pas". Un dépouillement se fait et on a mise en evidence de 10 dimensions de personnalité. Les théorie de la personnalité st très différente, sous différente cathégorie de perso. Mais le MMPI est le + utilisé.
- Questionnaires
evalue une seule dimension de la personnallité
- Methodes projectives
Apparu en 1939 utilisé pour parler de technique ou l'on demande au sujet de se projetter des choses de lui meme ds le test. Permet d'avir un reflet de l'ensb de la personnalité du sujet. (ca evolue en fct de la vie du sujet). Le sujet est place devant diff situation, et il donne ses sensation, sentiment.
Pour ce faire, on présente au sujet un matos peu structuré et c le suj qui leur donne une signification. On va vor la manière dont le suj aprehende la réalité, les mechanisme de def que met en place le suj les processus affectifs du suj, et la manière dt le suj resoud des conflit psychique. Il n'y a pas de bonne et de mauvaises rep. chaque réponse est interprété en fct de 'fiche' réponse ou de références théorique.
L'anvantage, c que le suj donne la signification qu'il veut au matériel, le sujet parle librement, il s'exprime comme il veut. Le suj donne qqch qui vient de lui ds les réponses. Le psycho fait encore une fois preuve de sa neutralité bienveillante. La façon dont le suj appréhende la situation nous montre comment i marche. Mais le suj fragile peut etre anxieux par rapport a la situation car il doit comblé un vide.

METHODES PROJECTIVES.
Le test d'association de mot de Jung.
Jung a repris des travaux anglais sur l'association de mot, on donne un début de phrase, le suj n'aura pas de suite illimité, on se rend compte que la suite aura un rap avec le passé du suj. Jung a donc déduit kon pouvait devinier la perso du sujet.
On avait 4 listes de 100 mots et le sujet devait lui donner le premier mot qui lui venait a l'esprit, il pensait trouver 2 type de personnalité (introversion, intraversion).

Le test de Rorchach.
=> c le test des taches d'encres, son créateur avait un père prof de dessin, il a tjrs eu un interret pour la peinture, il a vut que les gens voyait des choses très différents sur les tableaux (impressionisme). Il a dc commencé a travailler avec des tableaux puis des taches d'encre. Rorchach est le seul a avoir persévéré dedans, avec plusieurs planche (1,2 ou plein de couleur), il remarque aussi que certain se fixaient + une partie que la planche en son ensmb. En 1918, il établi son test et le publie en 1921. On commence a l'utiliser ds les année 30 et est diffusé ds la sec GM. Ce test se compose de 10 planche et le sujet doit donner une signification a chacune des planches. Les psychanalyste se sont approprier ces test pour leur donner des signification.
Puis, vint la méthode syst intégré par Hexneir (Ricain)
Chaques taches du test de Rorchard a des interprétation qui correspondent a des "banalitée", qq qui ne voirait que les banalitées serait qq d'hyper conformiste.
1ere planche: papillon, chauve souris,... (rep svt donnée mais non banale, formes humaine).
2eme planche: Animaux (chien, ours,...) face a face.
3eme planche: êtres humains qui dansent ou neud papillon (identification sexuelle, penis ou seins).
4eme planche: Image de puissance, image paternelle (pour voir la réaction face a un smb de puissance) ici, il n'y a pas vraiment de banalité.
5eme planche: svt chauve souris, papillon (svt image de soi meme).
6eme planche: peau d'animale, on voit svt es interprétation phalique sur cette img.
7eme planche: pas de banalité, certains auteur disent que l'on voit des tete ou visage humain sur le dessus (renvoie a des phantasme sur des relation précoce du sujet).
8eme planche: on voit deux animaux quadrupèdes sur le coté. C la plache du contact extérieurs.
9eme planche: pas de banalité admises, certain voient une tete sur le bas, cette planche exprime a des phantasme de la toute petite enfance, par rapport a la grossesse.
10eme planche: C une plache d'individuation ou de séparation, on y voit une pieuvre, un crabe, et plein d'autre truc bizare.

Après on demande au sujet pourquoi est-ce que le suj voit ca comm
e ca. On fait ensuite une analyse quantitative et qualitative (on s'interresse au nb de rep (mini 14), on tient également compte du temps que le sujet met pour donner une réponse (a certaine planche, certain sujet ne voent rien du tout, on appelle ca un refut), on tient compte de la localisation de la réponse, quelle partie du dessin, quelle couleur. On s'interresse enfin au déterminant des réponse, forme, mouvement, couleur). On analyse tout et on obtient des info sur les diff type d'angoisse du suj, sur sa façon de percevoir l'extérieur, des info sur les mécanismes de defense que le sujet utilise, la façon dont le sujet se voit lui meme, la façon dont il voit son corps. Si le sujet est bien ancré a la réalité ou si il est plus d'élirant, des infos sur la structure de personnalité du sujet.
On fait svt les Rorchard pour confirmer des évaluation, ou des diagnostiques. Ce test est totalement non verbal, pas besoin de savoir lire ou ecrire pour le faire, on peut meme le passer avec de jeunes adolescent. Ce test n'a aucune signification c le sujet qui lui donne des signification.

Le thematic Aperception Test (le TAT)
Il a été developper par le ricain Murray, en general, on le fait passer avec le Rorchard. Le TAT date de 1943, Murray était biochimiste et c interressé par la suite a l a psychanalise, et a fait ce test pour découvrir l'inconscient du sujet, savoir quelle place il tient par rapport a sa famille, sa feme, ses enfant, les img st svt avec plusieur perso, et le suj fait des comparaisons entre lui et les scène, mais tjrs inconsciement. On montre diff planche, et on demande au sujet de raconter une histoire par rapport a la planche. Comme les ig st tjrs les meme, on peut demander a diff personne pour faire des comparaison entre ls sujet. Les scènes st assées ambigue, c le sujet qui fait ce qui veut avec les perso et tout le reste. On travail encore sur le discour du sujet, c bcp moins en nb de reponses quon travail, mais en fct du contenu des reponses du sujet. Ds l'hist il y a svt un perso principal et vas s'y identifier, celui ci va avoir des defauts des atirances, des dégout qui ont rapport avec le sujet lui meme.
1ere planche: petit garcon face a un violon. (comment on fait face a un truc de nouveaux)
2eme planche: Avant plan: jeune femme avec livre et la deuxieme femme est enceinte, il y un homme en fond. On entre en plein pb oeudipien, le suj va dire qui est qui, fait quoi, etc...
3eme planche: cette planche n'est pas tjrs présentée aux femme. Il s'agit d'une femme a genoux sur un siège, et a ses pied un objet ui peut être identifier comme un revolver.
4eme planche: c une femme qui se cache le visage
5eme planche: c une femme qui attire l'attention d'un homme qui s'en fout, lui, i se casse sur mars.
6eme planche: C une femme qui mate a la porte et qui regarde ds une pièce ce qui se passe. C le représentation de la mère qui vien surveiller.
7eme plache: Au fond a gauche, il y a une femme agée qui tourne le dos a un jeune homme.
8eme planche: Une femme au premier plan a l'air très surprise alors qu'un homme avec une pipe se raproche comme pour causer.
9eme planche: Au fond un vieu qui cause a un jeune devant (situation père fils plus ou moins conflictuelle, comment les sujet se situent l'un par rapport a l'autre).
10eme: Sur un canape une mère et une fille , cette dernière détourne la tete, elle fuit le contact avec sa mere.
11eme: Au premier plan, un homme et un fusil, et en arrière plan, deux homme qui "opère" un homme ou un cadavre.
12éme planche: C une femme qui a l'air songeuse, pensive (elle contre un mur)
13éme planche: C un groupe d'homme qui st couchés ds un champ => camaraderie, solidarité entre personnes de meme sexe.
14éme planche: On voit deux femme du meme age, meme coifure, meme vètement, l'une est cachée derrière un arbre et epie l'autre qui part en courrant (il y a plusieur pt de vue, rivalité ou jeux entre deux femmes)
15éme planche: un homme et une femme dans les bras l'un de l'autre.
16éme planche: Une scène ss personnage, c un paysage cahotique (on peut voir un serpent ou un dragon). Idée d'un sentier qui permet d'aboutir qq part mais aussi un truc qui reveille des sentiment archaique,...
17éme planche: Un endroit reposant, il y a un arbre, une barque, permet la réflexion, de prendre le tps...
18éme planche: Une vielle qui dort ou est morte et u vieux la main tendue vers elle.
19éme planche: Un petit garçon qui a l'air tt seul qui attend ou a l'air pensif, sentiment de se sentir seul près de qqch de protectur (cabane).
20éme planche: femme alongé ds on lit (torse nue) et un homme qui se cache les yeux debout et déjà habillé. Renvoit a la sexualité et a l'agressivité ds le couple.
21éme planche: Une sorte de cabane ss la neige.
22éme planche: ele est tte blanche et le suj dit n'importe quoi...

Murray faisait deux type d'analyse, une formelle et une de contenu.
- La Formelle: compréhension de la consigne et execution de celle ci, est-ce que le sujet voit ce qui est réèllement représenté, on tient compte de la construction de l'histoire, sa cohérence, la richesse des détails fournit par le suj, sont elle réelle ou imaginaire, sont elle logique, y a t il un plan. On voit si le suj fait + une description qu'il ne raconte une histoire, on voit l'intelligence du sujet, sa prception de la réalite, est t il capable d'avoir une réalité construte, se situe t il ds la réalité ou plus hors de la réalité, on as facilement des recit délirant pour les gens qui déjante.
- Analyse de contenue: quelles st les motivation profonde du héros/sujet? Ensuite, comment les personnage annexes se comportent face au personnage, le perso princ est il mené par les autre ou l'inverse? Comment se finit l'histoire, l'avenir des persos? Quels sont les activitées auxquelles se livre les personnages, thèmes réccurent ou pas,... L'histoire est elle convaincquante ou reste t elle "sur papier".

Mais d'autre auteur se sont intéresé plus a la forme du récit qu'au contenu pour voir le type de défense psychique du patient.
Comment le sujet se situe par rapport aux autres.
Mais quelque soit l'analye, on a des info sur ce que le sujet a faite ou des choses que le sujet aurait voulut faire. C donc la mise en jeux de phantasmes de rèves plus ou moins conscient du sujet.
On le fait avec le Rorchard car il permet d'avoir plus d'info.

Pour les enfant, on a le CAT, c la meme chose, mais pour les enfants, il y a aussi les test de patte noir, se sont des img qui représente un petit cochon qui a une patte noir, et celui ci est ds divers situation. L'enfant fait une projection sur le cochon a patte noire.

Les échelles clinique.
C un outil que le psychologue clinicien peut etre amenné a utiliser, mais c surtout ds un cadre de recherche. Elles permettes d'avoir des mesures quantitatives de la personnalité, ou de tel ou tel point de leur comportement, symptome ou autre. Ca sert si on veut faire des études sur divers patient avec les meme et les meme degrés de symptome. Ca sert aussi a voir l'évolution des symptomes, on fait faire plusieur fois le test.
Plusieurs type d'échelles: celle d'auto-évaluation, c le patent qui remplit le questionnaire, il y a aussi celles d'hétéro-évaluation, c un psycho qui remplit l'échelle après un entretient avec le patient.
"Ici", on voit l'inventaire de dépression de Beck (Auto-Questionnaire), il regoupe 3 item avec 4 quotation: de 0 à 3 (0 pas du tt concerné, 3 completment).
0=>4: le moyen névrosé
5=>7
8=>15
15 et + : le plus névrosé

Expl de test d'hétéro-évaluation, l'echelle de dépression de Hamilton.
A cette échelle: 0=>7 : pas de dépresion
16 et plus: dépression sévère
L'idée des échelles ou des test, c de faire des études stndardisé, et elles servent en complement, de tout les autre moyens. Pour qu'un outil soit valabl, il faut qu'il reponde a 3 qualité: la fidélité, la sensibilité et la validité.
La fidélité: si on fait passer plusieur fois le meme test a la meme personne, on a deux fois le meme résultat, il y a aussi la fidélité interjuge, et eux psycho doivent trouver le meme score.
La sensiblilité: si le suj a une amélioration minime, on le verra sur le test.
La validite: Il faut que le test mesure vraiment ce qu'il dit faire (un test de dépression ne mesure pas l'anxiété).

4. Le travail du psychologue:
C dure de trouver du boulot, et bcp de psychologue clinicien ne font que des boulot a tps partielles. On les rencontre ds les hopitaux, surtout ds les services de psychiatrie. Il bossent avec tout les ages. Mais on en rencontre aussi ds d'autre service par exemple la neurologie, la cancérologie. Il y en a ds tout les centre médico psychologique: centre pour les personnes qui ont des troubles divers, pour alcooliques par expl. Il y en ds les service sociaux, dans les écoles, dans certaines entreprises. Plein ds les services privés. Il y a assi plein de psychologue recrutés pour la recherche.
On peut répartir les fonction du psychologue en 3 grd aspect: une fct d'évaluation et de diagnostique, une de conseil et d'intervention, et une de psychothétapie et rééducation. En général, le psycho se spécialise ds une des matière, de plus, il doit se tenir au courrant de ce qui se fait ds son domaine. Il y a également une tache de formation des futur psychologues, étudiant ou collègues pour une spécialisation.
Le psycho a 3 trois grandes fct: diagnostique, formation et expert.
Plein de spécialisation st possibles, psychanalyse, ...

A: évaluation et diagnostique.
On doit pas sulement dire les maladie du sujet, mais aussi voir l'histoire, l'environnement, le fonctionnement du sujet. Essayé d'évalué comment marche le sujet, ses défenses, etc...
Le diagnostik: "C'est le résultat final d'u processus complexe au cour duquel le psychologue clinicien cherche des informations sur une personne et les élabore en vue de cerné les problemes de celle ci et leur caue, d décider s'il y a lieu d'intervenir, et coment, et d'évaluer les interventions et leurs effets." =>Huber
On fait l diagnostique, mais on essaye d voir ce que peut fair le sujet pour résoudre les pb, proposer une prise en charge. Il faut aussi voir si le sujet a envie ou est capable de subir la prise en charge, voir aussi la disponibilité du sujet. On cherche donc a faire un tableau du fct général du patient, on tient compte aussi de l'age du patient, son éloignement du lieu de soins.
On fait aussi, si c possible un regrouppement des infos recueillit par les divers psychologues qui ont vue le sujet. Il est très impt de tenir compte de la volonté du patient.

B: Conseil et intervention
Il faut bien différentcier le conseil de l'intervention. Le conseil vient des EU, cette fonction est apparue pdt le sida, c une aide qui c dévl pour un soutient passager. C pour des patient qui ont un choix a faire, voir les différentes réactions possible (divorce,...). Le patient vient souvent pour faire des truc qui vont plus vite qu'une psychothérapie. Le psychologue ne doit rien ordonné, mais juste conseiller, verballement le suje. C ce kon a aussi ds les écoles, lycée. Des psycho sont plus ou moins spécialié ds ce domaine, il n'y a pas intervention profonde ds le sujet. On demande aussi pour tout ce qui est maladie neurologique. Ca sert pour le patent, voir meme sa famille. C plus facile d demander un conseil que de faire une démarche psychothérapique.
On met en place des fois un service de psycho qui font des interventions immédiates pour permettre au patient de parler, d'exprimer les sentiments qu'ils ont ressenti, exprimer le stress post traumatique (après un accident, un attentat, ...). (ces services ont été commencé au mmt de la guerre du viet-nam, on intervient ds l'urgence, en tps de crise). Ca concerne aussi les gens a qui on annonce une maladie grave,...

C: Les psychothérapie et rééducation.
Les psychothérapie sont pas enseignés en FAC (en tt cas en france), ce sont des formation extérieur.
Après la formation, on comence a suivre de patient en étant superviser par un collègue, et après devenir psychothérapeute.
Plein de sorte de psychothérapie: celle avec 1 patient, celle avec des groupes avec un ou deux psycho, les psychothérapie verbales, non verbales, les psychothérapie varient aussi en fct de leurs différentes théories. La psychothérapie est l'héritères de pratique religieuses ou savante de l'époque, on essaie d'apporté un chgt, la modification du sujet, avec l'idée kon vas amélioré le suj. Il n'y a pas de traitement, c que psychologique.
Pour parler de psychothérapie, il faut une méthode, codifié et sous tendue par des théories scientifiques. Ensuite, il faut une validation du résultat, que l'on améliore les patient, avoir une modification du comportement, des pensée et que le patient retire un bien être supplémentaire. Ce qui compte, c que le patient le ressent, pas forcément que ca se voi, mais ca implique une volonté du patient, c le patient qui choisit. Il faut que les deux partie (patient et psychothérapeute) aient une volonté de travailer ensemble.
Avant toute thérapie, on fait un "contrat" pour savoir sur quoi on vat travailler, la durée et la régularité des scéances. On trouve répertorié plus de 300 psychothérapie différente.
Il faut se référé a une théorie scientifique de la personnalité et de ses trouble, se référé a une théorie capable de supprimer ces troubles, il faut que la psycho s'adresse a un état de souffrance des patients, pour les suj qui veulent changer qqch en eux, se bonnifier.
On a un couple ou un groupe patient / thérapeute qui est très impt, ca se passe tjrs ds le meme endroit. Pour qu'il y ait qqcu de positif sur le patient, il faut: que le psychothérapeute crée et garde une situation d'aide, il faut qu'il utilise une technique ds laquel il s'est formé, mais il ne doit pas changé de technique en cours de route, et la troisième chose, c que le patient ai envie, et confiance en la thérapie, sinon i a pas bon. On a tjrs la notion de neutralité bienveillante, mais il faut que le psychothérapeute sente a quel mmt il doit intervnir, qu'il sache se mettre a la place du patient. Pour la psychothérapie, il faut des scéances régulières, des scéances bien établies, on doit aussi y prévoir une fin. Il faut un échange qui s'instaure (un climant de confiance), qui suit une logique ds les rapport du patient, il faut que progrssivement, on voit un chgt du patient, et que le patient deienne de plus en lus actif ds sa volonté de changer. Il faut évaluer aussi les capacité de discution du patient pour voir si une thérapie uniquement verbale ira. C au psycho de voir quel est la methode la plus adéquate pour le patient.

5. Les psychothérapies.

A)Psychanalyse.

Le but premier de la psychanalyse n'et pas forcément la guérison du sujet, l'idée de la psychanalyse est plus un travail en profondeur sur sois meme, connaitre sa vie psychique, son fonctionnement, rendre consciente des choses inconscientes. La psychothérapie est très longue et n'a pas d'action immédiate sur les troubles ou symptomes du sujet. On anlyse et interprète le transfert.
On a 3 phénomènes distinct ds la psychanalyse: l'ensemble des théorie de freud, la cure psychanalytique et le procédé d'investigation de la vie psychique et des processus mentaux. La psychanalyse en tant que thérapie suit un protocole très précis, sur un nombre de séance régulier (en general 3 a 4 / semaine). Le patient est allongé ur un "divan", mais le patient ne voit pas le sujet et réciproquement. Le sujet parle et le psychanalyste se tait ou, rarement (- 1 fois par scéance), une interprétation.
Habituellement, on a des scéances de 45mn et c tout, quitte a coupé le sujet. Pour Freud, la rigidité du cadre permet d'accédé plus facilement a l'inconscient du sujet (favorise une crtaine régrétion), on accède a des chose que l'on ne peut pas avoir autrement.
Un gros investissement de la part du patient (moral et financier).

B) Psychothérapie d'inspiration psychanalytique (PIP).

Elles sont pratiqué par des personne connaissant la psychanalyse, elles sont souvent moins longues, mais permette tout de meme l'acces a l'inconscient du patient et il ne change pas la personne, il s'agit plus d'un aménagement. On peut soit remonter moins loin, sois moins profondément.
Ici le sujet n'est plus allongé, les deux protagonistes sont en face a face, la durée de la thérapie est plus courte. La communication non verbale intervient ds ce type de psychothérapie. La aussi,il faut que le patient sois motivé, qu'il ait envie de faire des effort. On recommande cette technique sur des patient fragile, ou avec des problèmes plus grd (ça remue moins de choses que la psychanalyse).

On a:
1. La psychanalyse Jungienne: elle est basée essentiellement sur les rêves, leurs symbole,... Pour Jung, c un autre accès a l'inconscient des sujets, ca sert au sujet pour developper leurs moi.
2. La psychothérapie Adlérienne: pour Adler, la souffrance des individus était par rapport a une non insertion sociale. Il pense que ca marche sur le sentiment d'infériorité venant d'échecs que subit le sujet. Le psychologue a une méthode beaucoup plus directive, et sert de conseil, il se sert beaucoup plus sur l'espect conscient des sujets.
3. Psychothérapie Brève: tte les référence thoriue st celle de la psychanalyse, mais, on décide au depart une focalisation sur un point particulier de la vie du sujet pour limiter le travail thérapeutique, on investit pas tout les aspect du sujet. Le nombre de scéances est délimité a l'anvance, et on s'y tient. On a encore un travail d'interprétation du psychanalyste, mais il empèche la déviation sur d'autres sujet.
4. Psychothérapie Analytique de Groupe: elle se réfère directement aux thérapies de la psychanalyse, on a plusieurs patient, qui ont soit le même pb soit avec la famille d'un patient, soit avec des malades avec différent pb. On regarde la dynamique du groupe, voir si il y a une sorte de leader, et on interprète par rapport a la relation de groupe (on remarque les alliances, les prédominances,...).
Parmis les thérapies de groupe, i en a 1 très connut: le psychodrame analytique de Moreno, chaque individu raconte une situation (dramatique) qui lui est arrivé, ensuite, on rejoue la scène avec les patient et chacun prend différnts rôles, et après on demande ce que les patients ont ressentis. Après, le psychanalyste interprète les réaction et sentiments (le thérapeute est très actif, il est "l'animateur" du groupe.

C) Psychothérapie de soutient.

Elles font moins référence a une psychothérapie en particulier, c souvent l'amorce d'un travail thérapeutique. Elle sert souvent aux personnes qui ont un peu peur ou qui ne veulent pas vraiment. On a dc un sujet qui verra une a deux fois par semaine un psychologue (lors d'une hospitalisation, psychiatrie ou autre), elle peut donner au sujet l'envie d'entreprendre un thérapie plus sérieuse. Ds cette psychothérapie, on montre seulement au sujet que si il le veut, on peut l'aider, mais on n'entre pas ds son inconscient, le psychologue doit dc avoir l'air sympa. En général, ça sert a faire accèpter une maladie, on fait déculpabiliser le patient, on le rassure, on lui montre qu'un psychologue peut l'aidé a surmonté une étape difficile.

D) Relaxation.

Le sujet apprend une certaine détente musculaire, et le sujet apprend a prendre conscience de son corps, il apprend a maitriser son corps, il existe différents technique (+ ou - physique ou mentale). Le fait de passer par le corps facilite le travail, ça sert bcp au sujet qui ont des maladie d'origines psychosomatique, ça sert bcp au gens qui ont un handicappe (paralysie localisée) pour qu'ils accept leurs corps. Ces techniques sont issue des théorise de l'hypnose, on apprend a se décontracter, se déconnecter de leurs corps.
1. Training autogène de Schultz.
L'idée est l'apprentissage au sujet d'entré ds un état de déconnexion physique et psychique, proche de l'hypnose. On apprend au sujet comment apprendre a penser a rien, a détendre progressivement a détendre toute les parties de son corps unes à unes. Ensuite, on demande au sujet ce qu'il ressent ds cet état là.
2. La elaxation progressive de Jacobson.
Apprentissage de la détente de toute les zones musculaires du corps et ce progressivement. On lui apprend aussi a avoir conscience de son corps, pour qu'il puisse les repérés et ensuite se relaxé et ce précisément. Ona aussi une participation affetive, emotionnel.

E) Psychothérapie systémique.

C la psychothérapie familliale, c l'analyse d'un groupe naturel, du comportement des divers personnes concernées.
On c rendu compte que parfois un enfant a des pb scolaire ou autre montrait plus un reflet d'un disfonctionnement familliale. On recherche un equilibre familiale, l'équilibrage d'un système. Ds ce cadre de thérapie, on essaie d'avoir toute la famille "du quotidien", la thérapie est souvent faite par un couple de thérapeute, la scène est svt filmé, ou se passe derrière un miroir ss teint et d'autres thérapeute les observes (les scéances st très riches en inforations). Les thérapeutes doivent apprendre comment fonctionne la famille, s'il y a des alliances au sein de la famille, etc... On voit ci chacun a bien sa place ds la famille, on assiste aussi a des familles contenant des secrets familiaux, on en parle plus, mais les enfant le sente et on besoin de savoir. On a aussi tout ce qui est fantasme ds les familles, et ds la thérapie, chacun peut exposé ses croyances ou autre. Aux EU, il y a eu un gros devel de ces techniques. Le thérapeute doit travailler de la manière la plus neutre possible. C bien que les thérapeutes soint 1 homme et 1 femme, pour servir de "modèle". On voit aussi le phénomène de discalification de messages. Das le familles avec schizophrènes, on a les messages paradoxaux, (par expl, l mère dit qqch, mais ses gestes exprimes le contraire), ce comportemet contradictoire perturbe les enfants (une mère peut avoir un comportement diff avec ses enfants), ces mère sont svt a l'origine des schizophrènes (expression de deux messages contradictoires).
On rencontre de plus en plus de pb avec les divorces, et rcréation de nouvelles cellules familiales cs pb st svt d'ordre de l'identification.

F.Psychothérapies cognitivo-comportementales (TCC)

L'idée est que tt les comportements sont appris (normaux ou patho), et on a un renforcement de ces comportements. Par cette thérapie, on modifie les comportement patho.
Cette technique a été crée en réaction a la psychologique (on ne travail que sur des choses observable et conscientes), on va travailler sur une situation, un timulus de l'environnement. L'environnement est tres impt. On a élaboré bcp de modèles en labo pour montrer comment les sujets apprenais les coportements.
On commence par analyser le comporrtement du sujet face a une situation (on tient compte de ce que le sujet pense et ressent). On établie un contrat assé précis avant la psychothérapie, avec qu'elle comportment a modifié, en combien de tps, combiens de scéances. On demandes bcp de choses du sujet en lui demandant de faire tel ou tel choses avant la scéances suivante pour qu'il décrive comment ça se passe. On utilise bcp cette thérapie pour tout ce qui est phobies, réactions au stress, troubles obsessionnels compulsifs (se laver les mains 30 fois par jour,...), la dépression,
1. La dessensibilisation: sur le principe expé de l'inhibition réciproque, on apprend au sujet a répondre a une situation comportementale contraire a ce qu'il fait d'habitude (réaction pathologique). Par expl, les sujet anxieux seront invités a ce contrôler.
2. Immersion: on oblige un sujet a affronté une situation pour lui montré que c pas si terrible. On l'oblige a y rester, l'anxiété monte jusqu'a un palier et là, il commence a dimminuer. On commence par le faire par la pensée (imagination), poui, on le met ds des situations concrètes.
3. Méthodes assertives: elle travaillent bcp plus sur les possibilité sociales, on apprend au sujet a s'affirmé, à ne plus avoir peur des autres.
4. Techniques cognitives: on travail sur les modes de pensée, de raisonnement du sujet, on leurs montre que plusieurs points de vues sont possibles, que les choses qui arrivent ne sont pas tjrs négatives. Ca lutte aussi aux croyances irrationels du patient (chance ou autre).

G)Pdsychothérapies humanistes.

C moins considérée comme a une psychothérapie. Ca sert plutot aux personnes qui sont "normaux", mais qui veux embellir sa vie.
On traite l'individu ds sa globalité, meilleur vie de groupe. On s'atache ce que le sujet ressent maintenant en relatant les choses du passé.
Il y a eu lgt des dissention avec la psychanalyse, non directif, notion d'empathie du sujet, bien comprendre le sujet, relation interpersonnelle positive et constructive. Il doit y a voir un effet immédiat sur le sujet, le laisser allé ds sa voie.
1.Analyse transactionnelle de Berne: l'idée c de parlé du 'moi' du sujet ds ses 3 aspets et on veut un equilibre entre ces 3 parties (le 'moi' parent, le 'moi' enfant, le 'moi' adulte).
2. Gelstat-thérapie de Perls: recherche d'une compréhension aussi globale que possible ds son fct. Le sujet n'est pas responsables de ses syptomes, mais de ses persistances. On demande au sujet de rejoué des scènes de sa vie, mais comme il aurait aimé que ça se passe a l'époque.
Ce qui est caractéristique de la psychothérapie, c la relation patient/psychologue, qui consiste a un respect et une confiance mutuelle. Ds tte psychothérapie, on essaie de faciliter l'expression ds tte forme de thérapie. Deplus, il y a toujours une sorte de contrat entre le psycho et le patient plus ou moins implicite, il consiste a fixé la durée, etc. Tte les psychothérapie traitent de la vie du patient, le psychothérapeute a une triple fct: -présence, -médiation (dont d'informations, établissement d'une communication, augmenter les connaissance du suj sur lui meme), -restauration (apport d'un bénéfice du sujet).
Le but est d'obtenir un meilleur accord une meilleur communication entre ce que le sujet souhaite plus ou moins consciement et ce qu'il arrive a faire.[/
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II. La psychanalyse.

3 choses: Ensemble des théories qui on rapport avec le fct de l'appareil psychique.
Méthode d'investigation de la vie psychique
Technique de traitement de sujets comportants certains troubles.

Freud dit que le but de la psychanalyse permet d'accéder a l'inconscient du sujet, rendre cnscient ce qui est inconscient.
La psychanalyse a pris naissance a la fin du siècle dernier, elle dérive de la "medecine psychologique" (1880-90), c médecin s'interressaient aux névrose, a l'hystérie, on utilisait l'hypnose comme technique d'investigation. Les patients sous hypnose passaient a de la suggestion. Grace a ces technique, on a déjà vue que des symptomes peuvent venir du passé.
J. M. Charcot (médecin a la salpétrière, 1885), travaillait avc des hystérique (avec le principe d'hypnose), il déterminait les causes de l'hystérie.
Bernheim (neurologue psychiatre) s'interressait aux aspect techniques et pratique de la suggestion pour soigner les malades.
Pierre JANET a également beeaucoup contribué a l'évolution de la psycho.
Il y a egalement de nombreux autres spécialiste en Angleterre, Allemagne,...
Joseph Breuer a beacoup collaborer avec Freud, il on pratiqués la première psychanalyse sur le cas Hannah O.
Breuer travail bcp sous hypnose, car les choses du passées revenaient plus facilement. Comme en parlant ça allait mieux, il a mis au point une technique (méthode cathartique) qui permettait au patient sous hypnose a revivre les evennement du passé pour avoir une décharge émotionnelle des sentiments liés a l'évennement traumatique. Le fait de se déchargé emotionellement au moment du traumatisme permet de se guérir progressivement.

1. Historique:
Freud (1856-1939), il vient de moravie et fait des études de docteur et se spécialise en neurologie. En 1885, il vient travailler a Paris avec Charcot sur des patientes hystérique, il travail avec l'hypnose, il découvre donc que des symptomes peuvent etre duent a des causes antérieur. Il ouvre un cabinet a Viennes, et soigne ses patient avec la suggestion. en 1895, il travail avec Breuer et publie le cas Hannah O en (?) .1938, possé par ses amis, il part a Londres (a cause du nazisme), la il y meurt d'un cancer du larynx.
Freud se rend compte que des patient sont impossible a hypnotiser. Hannah O parle d'une cure par la parole qui "fait du bien", idée d'un traitement par la parole. Il commence a demander au patient de se souvenir du passé sans hypnose. C t difficile car c dure de parler, et des fois,, on arrive vraiment pas a s'en souvenir. Il se met a demander au patient de dire tout ce ui leur passe par la tete, sans rien oublié, création de la psychanalyse, avec une seule consigne: la libre association. Freud laisse au patient le choix du sujet de parole, il se rend compte qu'en entretient en face a face, le patient a "honte" de ce qu'il pourrait dire, il le met donc couché sur le divan ce qui facilite la régression, et lui non plus ne voit pas le patient.
Le transfert n'est que la répétition de sentiment que le sujet a déjà épprouvé dan son entourage dans son enfance. C l'observation du présent et du transfert qui perment a Freud de voir comment fonctionnait le sujet dans son enfance, ça permettra à Freud de mieux comprendre ses patient.
Jusqu'en 1905, il est le seul a pratique la pychanalyse, mais le courrant se développe et dès 1906, on voit apparaitre d'autres psychanalystes. Les pionniers de la psychanalyse sont Bleuler, Jung, Jones, Abraham, Ferenczi. Freud psychanalyse ses disciple pour qu'ils se connaissent eux meme et connaissent les sentiments qu'ils ressente sur le patient. Jusqu'en 1920, Freud a quasienent tout fait sur la psychanalyse, après, on a eu juste des remaniements. Freud se rend compte que l'appareil psychique est constitué de plusieur partie: inconscient et conscient, avec plein de chose ds l'inconscient inaccessible. Il propose donc un modèle de cet appareil psychique.

2. La metapsychologie:
Freud regroupe toutes les théorie psychanalytique qu'il a developper et a appele ce groupe métapsychologie. Elle s'opposait a tt ce qui etait psychologie à l'époque, en s'interressant à l'inconscient alors que la psycho de l'épok s'interressait au conscient. On retrouve tout les principes et mobèles théorique (concept fondamentaux) qui permettent de reconstruire l'appareil psychologique du patient.
appareil psychique: C un mode d'observation et d'explication de l'appareil psychique se lon trois point de vue: dynamique, economique et topyque.

Pour Freud se sont ds pt de vue complémentaires sur un meme appareil psychiques.

a) Point de vue dynamique:

On considère que ds l'app psychique, il y a de l'énergie qui circule, diférentes forcent circulent dc et entre en conflit, et lorsqu'un symptome se présente chez un patient, c le résultat d'un conflit psychique. L'idée de ce pt de vue, c de voir l'app psychique comme qqch en mvt perpétuel.

b) Point de vue economique

Introduction d'ue notion de quantifiable qui donne un peut un coté scientifique à la psychanalyse. Ce pt de vue sert a voir comment l'énergie psychique s'investie dans les représentation, comment elle se répartie dans l'appareil psychique. Ds l'appareil psy, il y a des représentation et d'energie psychique qui investie la représentation, cet investissement donne un affect à la représentation (un aspect qualitatif).

On introduit aussi le principe de plaisir et de réalité (2 principe fondamamentaux pour Freud). Pour l'app psychique, déplaisir=> tension psychique, il essaie donc de décharger tte les tensions pour atteindre un etat de plaisir. Mais on ne peut pas avoir un plaisir durable si on e tient pas compte de la réalité esxtérieur, on a la notion de différer un plaisir ds le tps (pour accordé la réalité et le plaisir). L'appareil psychique utilise les deux principes pour avoir un max de plaisir.

Freud cherche a voir comment cette énergie peut se décharger. Les deux principe précéent ont pour corrolaire le principe de constance (maintient aussi bas que possible l'énergie psychique => maintient du plaisir). On essaie d'empècher l'énergie de remonter et dès qu'elle remonte le rabaisser pour retourner au plaisir psychique. Les 2 principes s'affrontent et donnent lieux a d nouveaux conflits psychique. Qd on parle du fct du principe psychiqe, on parle de processus primaire (plaisir immédiat, appareil psychique fonctionne librement, on atteint la satifaction la plus rapide possible) et de processus secondaire (l'energie est investie ds une représentation tenant compte ds réalités, moins souple...)

c) Point de vue topique:

Freud essaie de donner un pt de vue topique (voir topographique) de l'appareil psychique; Freud parle de différent système fonctionnant les uns a cotés des autres et on voit comment l'énergie circule d'un endroit a l'autre de l'appareil psychique. On oublie pas d'imbriquer les trois pt de vue les uns ds les autres. Freud a successivement dvt 2 théorie sur l'appareille psychique:
1ere topique: système Inconscient \ système preconscient \ système conscient
- cs: partie psychique en contact avec le monde extérieur, il enregistre toute les stim extérieur et voit ce qui s passe a l'intérieur de l'app psychique (plaisir, déplaisir,...), pas de trace mnésique des infos. Le syst conscient fonctionne sur un regime qualitatif. On dit que c la partie la plus superfitielle du sujet, c ce kon voit chez l'autre. Le conscient obéit au principe de réalité et les proc secondaire.
- pcs: contenu facilement accessible a la conscience, c des contenus de pensée, img, représentations de mots. Il est aussi régit par la réalité et les proc secondaires. Les choses qui passe de l'inconscient au conscient passe par le pcs.
- ics: le plus archaique de tout les système, c le réservoir de l'énergie psychique. Il s'agit de représentations bcp plus floue, plus vagues le tt est régit par le processus primaire; Tte les choses qui nous st arrivées ds notre vie laisse une trace ds notre inconscient, meme si on en a pas conscience.
Freud définit une zome de passage entre deux système, c la censure. Elle est particulièrement efficace entre l'inconscient et le préconscient.
Le travail de la psychanalyse est de supprimer ou d'amoindrire les censures.
Ds les schéma de Freud, on voit que le travail psychique se fait aux frontières des systèmes.
2eme topique:
Il la développe pour réexpliquer de manière différent avec des instance psychiques. Freud s'interesse plus sur les conflits engendrés par les instance. Les trois instance sont: le CA, le MOI et le SURMOI.

Le ça: c le reservoir de tte l'energie psychique du sujet, ça correspond plus ou moins a l'inconscient de la première topique (c le plus obscure, le plus impénétrable du sujet). Le ça est composé de choses innées et héréditaire et des choses refoulées ds le passé. Le ça est géré par les proc primaire et le plaisir. Tt les processus ds le ça du sujet n'est pas forcément logique, une chose et son contraire peut cooexister ds le ça, il n'y a pas de notion de tps, espace, morale, jugement de valeur ds le ça. Pour Freud, le bb nait qu'avec le ça.

Le moi: C le pole défensif de l'individu, ca corespond a la personnalité et l'identité du ujet (ce kon peut voir de l'individu). Il joue un role de médiateur entre la réalité extérieur et ce que veut le ça, le moi cherche a preservé l'identité, lunité de l'individu. Une partie du moi du sujet est conscient et une autre insconsciente, le but, c l'auto-conservation de l'individu, il est médiateur entre le ça et le surmoi. Le moi se constitue a partir du ça a partir des premières heures de la naissance; le but de la psychnalyse, c qu'un peu du ça vienne ds le moi pour le développer. C par le contact extérieur que le moi se développe. Le poi sert aussi a la conscience du sujet, ce qui fait que tout les processus conscient de la première topique st ds le moi (mais qd meme de l'inconscient). Le moi C la stabilité, l'identité du sujet. Le moi rentre en conflit avec les deux autres instance: ça et surmoi, d'un pt de vue dynamique, c la gestion d'un conflit, mise en place d'un mécanisme de défence. Economiquement parlant, c un facteur de liason qui sert a l'instance entre tt les autres parties.

Le Surmoi: il ce constitue aussi a partir du ça, mais plus tard chez l'enfant. Il y a interiorisation de tous les iterdits parentaux, les règles, les choses qui se font ou ne se font pas, il y a aussi l'identification inconscient ou consciente a un parent, père ou mère. C tte les règles de vie qui constitue le surmoi de l'enfant Freud dit: "le surmoi est l'héritier du complexe d'Eudipe". Le surmoi a un role de juge et de censeur por rapport au moi, 3 fct: auto-observation, conscience morale du sujet, fonction de censure de certaines actions du sujet. Ca se forme pdt l'enfant.


2) Metapsychologie

A) théorie des pt de vues
Les exitations internes st durables et le sujet ne peut se soustraire, il ne peut qu'aissayer de les satisfaire, c que l'on appel les pulsions en psychanalyse. Les pulsions st d'origines internes qui sont durables ds le tps et le seul moyen de les arrèter, c de les satisfaire avec le princ de plaisir. La pulsion est un lien entre le sommatique et le psychique. On a 4 aspects ds la pulsion: la poussée ( ce qui fé bouger la pulsion, c ce qui provoque une certaine tension psychique), tte pulsion a un but (être satisfait, décharger la pulsion), ensuite, on a la source de la pulsion (freud parles de zones erogènes, c elles qui provoque les pulsion, c la source des pulsion, c aussi le processus sommatiue qui fait qu'il y a une pulsion sur tel ou tel zone érogène), enfin, l'objet (c ce en quoi ou par quoi la pulsio va atteindre son but). Les prièmières pulsions sont les pulsions orale du bb lors de la téter, tt c fait de sucer, teter consiste a une pulsion, l'objet est la tetine, le sein, les doigts, etc...
La première théorie des pulsions (de freud): d'une part les pulsion sexuelles qui s'opposent aux pulsions d'autoconservation, pour Freud, les pulsions visent plus a la sauvergarde de l'individu pour celles d'autosonservation et a celles de l'espèce pour les pulsions sexuelles ca sert a garder le contact avec la réalité. Les pulsions sexuelles viennent du ça et les pulsions d'autoconservation viennent du moi.
Freud donne 4 destin aux pulsions: - le renversement ds le contraire (but de la pulsion va être modifié par expl pssé d'actif a passif).
- le but de la pulsion est le même, mais l'objet change (c le retour sur la personne propre).
- le refoullement: la pulsionest refoulé ds l'inconscient.
- la sublimation, la pulsion investi un nouvel objet, plus un objet sexuel, mais qqch d'autre, activité intellectuelle, créatrice.
Qd on parle de pulsion exuelle et de ses energie, on parle de libido (manifestations des pulsions sexuelles ds l'app psychique).
Au début, la libido du bb, c le sein maternel malgré que le bb n'a pas notion de personnes extérieur et complète autour de lui. Il se rendra dc vite compte que les doigt peuvent faire le même effet. Le narcissisme nais a une péroide ou le bb prète son attention sur le monde extérieur. La phase intermédiaire (conscience des autre, inconscience) qui fait naitre le narcice vient dc pdt la constitution du moi. L'idée c que le bb commence a identifé l'objet extérieur en tant que tel et c vers celui-ci que les pulsions vont être dirigées. C très impt pour la création de la confiance en soi, l'estime de soi, c une étape necessaire à la constriction de la personnalité.
Freud a fait un rmaniement de sa théorie des pulsion. Il dit que ses pulsion d'autoconservation et sexuelles peuvent être regroupé sous le terme de pulsions de vie (ou eros) et qui oppose les pulsion de morts (thanathos). Les pulsion de morts seraient propre a l'individu et en perpétuelle lutte avec les pulsions de vie. Tte les pulsions de vie on pour but de préserver la vie de l'individu et celle de mort peuvent arriver a l'auto-destruction. Les pulsions de mort viennent aussi du ça.

C) théoories de l'angoisse:
L'angoise est le résultat de pulsions non satifaites, accumulées, qui n'ont pas put être maîtrisé, déchargé (angoisse ds le moi). Qd l'enfant a besoin de l'objet, mais qu'il n'est pas là, => angoisse. On un afflut d'exitation qui provoque l'angoisse.
Freud remanie encore sa théorie: c un signal que le moi reçoit comme quoi il va y avoir un débordement pulsionnel, c un signal avertisseur pour le moi, ca permet de juguler le moi. L'angoisse serait un avertisseur du ça, le moi met en place ca defense pour ne pas être envahi. Mais l'absence de l'objet est tjrs source d'angoisse, risque de débordement pulsionnel mécanisme de défence pour refouler ses pulsions.

D) les rêves:
Il y a tte sorte de rêves différents, plus ou moins réel (presque comme la vie quotidienne), ou totalement déjanté. La plupart du temps, les rêves sont oublié qq minutes apprès le réveil. On a aussi des rêves récurent, précis, dont on se souvient tte sa vie. Le rêve ne survient que lorsque on est endormie, le sommeil est un besoin physique vital, on a svt fait le lien entre le sommeil et a vie intra-utérine. On a une suppression du contact avec la vie extérieur ce qui provoque un relachement de la censure et de toutes les défenses, c une passerelle pour le passages des choses de l'inconscient au conscient, on a un rapprocheent du moi et du ça pdt le sommeil. Comme il y a des élément angoissant qui vont surgire, on constate la transformation en rêve ("le rêve est le gardien du sommeil"). Le rêve tente a la réalisation hallucinatoire d'un désir inconscient (satisfaction a travers le rêve). Le cauchemar est un rêve pas suffisament déguisé.
Les rêves des enfants c svt qqch qui c passé la veille, il y a qqch interdit cette chose est réaliser en rêve. Parfois, les rêves d'adultes s'apparente a ce type de rêves, mais ils impliquent souvent un plus grd nombre e sensations, sentient ou autre. Ds les rêves d'adultes, il a tjrs certains élément de la veille. Il y a tjrs un désir inconscient du sujet. En psychanalyse, on cherche le contenu latent du reve a partir de son contenu manifeste. Le rêve va utiliser le contenu latent pour fabriquer le contenu manifeste.
Pour Freud, il y a des symboles universel, des choses innées de l'inconscient qui ressurgit dans les rêves, ce sont des désir infantil non satisfait se manifeste dans le rêve.
Les mécanisme qui crée le rêve (ellabore le rêve):
-le premier procédé, c la condensation (plusieus choses de l'ics condencé sur un élement manifeste). On a des distorssion entre la réalité et le rêve, une chose et son contraire en même tps.
- le déplacement: c une représentation qui a été investi, selon un lien associtique, d'une pulsion.
- Les rêves sont très visuel par le procédé d'association d'images visuel.
- le système d'élaboration secondaire, pour mettre le tout a la suite l'un de l'autre, il intervient aussi au mmt de la remémoration du rêve, l'explication n'est jamais réllement tel con le raconte. Qd on racont le rêve, c jamais vraiment ça.

Le rêve, c la voie royal pour atteindre l'inconscient. Freud c aussi intéressé au symbole du rêve (mort, naissance,...) qui sont universelles.
Les mécanisme de défense et la censure ne marche pas et lors de leur mis en marche, le rêve est chassé.

E) Les fantasmes:
C'est un scénario imaginaire ou le sujet présent et qui figure de façon plus ou moins déformé l'accomplissement d'un désir (le plus souvent inconscient). Il existe des fantasmes conscient (+ ou -) et d'autre totalement inconscient.
Le moteur de cette acitvité est un désir qui se manifeste sous la forme de fantasme. Un sujet a un désir inconscient ou conscient et le réalise par le fantasme. Les fantsme apparaissent au moment de l'arrivée du principe de réalité, on ne tiens plus compte des réalité et on satisfait un plaisir. La majeur partie des fantasmes sont inconscient, et certains arrivent a la conscience (en rêve par expl). Le but du sujet est de réaliser ses fantasme, mais la majeur partie reste comme désir.
Il y a aussi des fantasme originaire sue tt le monde a un mmt donné de sa vie, ce genre de fantasme sont contaté dans la majeur partie des culture, ca a rapport aux grandes questions des enfants. Les fantasme ont trait aux origine des individu, origine de l'humanité, les différents sexe de l'enfant.

F) Mécanismmes de défense.
C une activité du moi du sujet, ils sont mis en place par le moi pour protéger le sujet contre toute les pulsions qui proviennent du ça et qui veulent venir dans le moi du sujet. Ils diminuent l'angoisse des pulsions psychique, il servent a crée une harmonie entre les pulsions et la réalité. Le moi met ca en place dans le but de se protéger. La majeur partie des processus sont inconscient et sont donc sous la dépendences des procesus primaire.
Il es normale que ca arrive et différentes formes de défenses agissent, on parle de patho qd les défenses sont toujours les meme ou qd il y a conservation de principes de défenses archaïque alors qu'elle auraient duent disparaitre pour laisser la place a de plus évoluées.
Les défenses s'oppose a certaines pulsions de se manifester pour protéger le moi. On a une représentation de la pulsion (contenu concret de la pulsion) et l'affect de la pulsion (la tonalité affective, émotionnelle,..., de la pulsion), les mécanismes de déf agissent sur la représentation de la pulsion, il s s'attacherons dont a modifier, transformer ces représentation.
Les défenses se sont: l'ensemble des opération dont la finalaité est de réduirre, de supprimer toute modification susceptible de mettre en danger l'intégrité et la constance de l'individu.

Les principaux mecanisme de défense: - le refoulement (c le plus utilisé, le plus développé): c l'action de repousser et de maintenir dans l'inconscient des représentations liés a une pulsion. Tte pensées rejettées par le moi sont refoullées dans l'inconscient (Freud parle surtout de tte les énergie libidinal, sexuelle), le refoullement doit agir en permanence, tt ce qui a été refoulé veut revenir dans la conscience, on fait face a un retour du refoulé. Pour qu'il y ait refoullement, on a un désinvestissement (on enlève l'énergie psychique de la représentation) et on a donc de l'energie pour d'autre représentation. L'inconscient du sujet est constitué de chose refoulée (en partie).
- Le contre investissement: La partie inconsciente du moi investie des représentations qui ne feront pas obstacle a l'accès a la conscience (le moi envoie l'energie psychique vers une autre représentation acceptable).
- la formation réactionnelle: Attitude psychologique de sens opposée a un désir refoulé, il est constitué en réaction contre celui ci. (besoisn accru de propreté => désir inconscient de saleté)
- La formation substitutive: Element, symptomes, lapsus, actes manqué qui replace qqch d'inconscient et inacceptable. Ca permet une certaine satisfaction du désir refoulé tout en préservant la conscience.
- La formation de symptome: Lorsque le sujet dvt certains symptomes c en réponse a qqch refoulé (symptome psychique ou physique), ca arrive lors d'un echec du refoullement (expression déguisée d'un désir qui se manifeste sous forme de symptome).
- L'indentification: C'est ce qui permet de développement de l'identité du sujet, il s'agit d'un processus psycho ou psychique par lequel un sujet assimile un aspect, une propriété de l'autre et se transforme sur le modèle de l'autre.
- l'identification à l'agresseur: C qqch que le suj a de s'indentifier a ce qui lui fait peur pour diminuer sa peur (on devient l'objet qui fait peur)
- La projection: C l'opération psychique par laquel un fait psychologique est localisé a l'extérieur. On a expulsion de qqch que l'on a en soi pour le localiser chez l'autre (sentiment, désir, qualité) qu'il méconnait en lui.
- L'identification projective: en + de la proj, on met des choses de sois meme chez l'autre dans le but de le controler.
- l'introjection: le sujet fait passer sur un mode fantasmatique, du dehors au dedans, des qualités, des sentiments, des désirs, de l'objet extérieur à l'intérieur de lui. Comme l'identification,c très bien vue chez l'enfant.
- L'annulation: C le mec par lequel le sujet s'efforce de faire en sorte que des pensées, des paroles, des gestes ne soient pas advenus, et l'idée, c de faire un truc opposé pour l'annuler. Un dégout annulerait un désir.
- La dénégation: procédé par lequel le suj tt en formulant un désire, une pensée, un sentiment, s'en défend en niant qu'il lui appartienne. (Le sujet dit "non, ce n'est pas vrai").
- Le déni: C un refus par le sujet, de la réalité d'une pereption, la diférencier avec l'anulation, ici, on ne reconnais pas la réalité tel quelle est on le rencontre souvent dans les patho graves.
- l'isolation: le sujet en vient a isolé une pensée ou un comortement d'autre pensee d'autre comportement (pour qu'elle ne contamine pas les autres). Ca sert a se protéger contre une soouffrance.
- Le déplacement (cf. rêves).
- la condensation (cf. rêves).(plusieur repreprésentations condensées en une seule).
- Le dédoublement du moi: dédoublement du pour pour arrivé a une protection, c le cas dans des pathologie très graves. Une partie du moi est ds la réalité extérieue et une autre partie évolue dans sa propre réalité (plus rassurante, moins angoissante).
- La sublimation: (ce n'est pas du tout pathologique) C le méca qui rend compte de tte les activitées humaine apparament ss rapport avec la réalité mais qui trouverais leurs sources dans la pulsion sexuelle (activité intellectuelle, artistique, ...)
Ceci est un eventail non exaustif des principes de defenses. Le refoullement est de loin le plus utilisé. On aussi des défenses plus archaïque, ancienne qui marche avec le déni et le dédoublement du moi.
(cf: les mécanisme de défenses a voir a la BU)


III. Approche théorique du développement.

I. la psychanalyse:


A) théorie freudienne:

Stade libidinaux:
Freud n'a quasiement jamais eu d'enfant en psychanalyse, donc toute ses théories découle de l'analyse des adultes, on remet donc des choses en question, mais en général on accepte les théories de Freud.
La sexualité adulte est un composé de pulsions partiennes qui proviennent de diférentes régions du corps et qui on des but différent et sont apparut a différent ages.
Quand on parle de pulsion, on parle de sa source, de son but, de son objet. Pour Freud, les sources des pulsions sont les zones érogènes, celles-ci sont liées a des zones vitales de l'individu. Lorsque l'on donne a manger a l'enfant, on satisfait une pulsion orale, c la tétine ou le sein qui est le premier objet de pulsion, origine de tt e qui est sexuel.
Freud parles de stades libidinaux pour avoir les différents étapes de l'évolution de l'appareil psychique et des pulsions libidinales. A un stade, une zone érogène, un objet, un but (possibilité de conflit). On note la notion de fixation et de régression: si un enfant a une super satisfaction a un stade, il aura du mal a passer au stade suivant (fixation). Mais on peut parler de fixation meme si a l'age adulte.
La notion de régression: si l'enfant nn'a pas assé de coté positif dans son nouveau stade, il retourne a son ancien stade (voir meme deux stades avant). Par expl, si il y a un nouvel enfant ds un couple, les précédent ont tendance a régresser. Qd la regression est trop impt, on a des difficultées et des retard.

Le 1er stade: orale ( 0=>12mois)=> Bouche, lèvre langue, le but est la sucion, ou le fait de téter, et l'objet est le sein maternel ou son substitut. Abraham a distingué 2 partie ds le stade orale, le primitif (6 preum mois => succion tété), puis vient le stade sadique orale avec un désir de mordre, détruire le sein maternel. On voit déja apparaitre une ambivalence entre le désir de téter ou le désir de détruire l'objet. A ce mmt la, l'enfant ne fait pas la différence entre lui et l'exterieur. C a la fin de la 1ere année que la bb fait la différence entre lui, sa mère, son père, ...

2eme stade: stade anal (2eme et 3eme année de la vie de l'enfant): début de l'acquisition du controle sphinctérien. Ici, la zone érogène de l pulsion, c tte la mucqueues anale et l'objet c la substance fécale, le fait de faire ds le pot ou ds la couche, faire plaisir ou pas. Abraham fait une nouvelle distinction: le stade sadique annale: l'enfant prend un plaisir a expulsé ses matière fécale,puis (2=>3) "rétention" ou l'enfant a un désir de nuir, le sistème: faire plaisir ou pas.
Le 3eme stade: Phallique (3=>4eme année). La source de la pulsion et a sone érogène se déplace vers les organes sexuels de l'enfant: le pénis et le clitoris (aussi pénis car pas de diff pour l'enfant). La pulsion est satifaite lors de la masturbation ou lors de la mixion. L'enfant se met a s'interressé au sexe des différentes pers de son entourage et il e red compte de la différence des sexes. Se met en place les fantasmes originel. L'enfant à la sensation d'organe de puissance, de pouvoir, mais aussi naissance de l'angoisse de castration chez le garçon et l'angoisse de manque chez la fille. Au début, l'enfant refuse la différence des sexes et ce n'est que progressivement que ça rentre dans ses idées. C l'apparition de la fin de ce stade phallique qui nous fait entrer dans le stade du cplx d'oeudipe.
Le cplx d'eudipe c la 5 et 6 eme année de l'enfant, l'objet de la pulsion devient le parent du exe opposé, mais la source reste la meme zone erogène, c a dire la zone génitale. Pour le garçon, l'amour reste tjrs sur la meme personne, sa mère, il essayera de gagner don estime, sa tendresse, son attention, mais il verra le père comme un rival, mais il reste une ambivalence car il aimerais bien lui ressembler pour predre sa plce, une identification au père.
Chez la pte fille, les pulsion changent d'objet d'amour, il passe de la mère au père. Elle se dirige vers le père et cherche a obtenir du père ce que sa mère lui interdit (le pénis), elle le cherche en vulant obtenir un enfant du père. En mem tps, il y a encore une ambivalence, une culpabilité du fait quelle n'a plus de sentiment positif envers la mère.
On a un coté qui permet le déclin: le garçon a peur de la castration et la peur du père, la fille a peur de ne plus aimer et de perdre l'amour de sa mère. A la fin du cpl, on atteint un état de latence, avec le retrait de ttes ces pulsion, on voit apparaitre des mécanismes de défense: la sublimation et la formation réactionelle. Pendant ce stade, l'enfant renonce a ses parent en tant qu'objet d'amour et recherche une identification, le petit garcon veut ressembler a son père et invrsemment, c pour ca qu'on dit que le surmoi et le reste du cplx d'eudipe, on instaure l'inceste.
Ces deux méca (sublimation: invetissement d'activité autre que sexuelle et formation réactionnelle: l'attitude psycho de sens opposé du désir inconscient refoulé). C a la période de latence que l'on voit la naissance su entiment d'amitier entre enfants. Il y a eencore des pulsions sexuelles, mais elles sont pour le plupart refoullé.
C a ce mmt de l'organisation du moi que l'on voit une meilleur défense psychique, on voit aussi un dvt du surmoi. On a aussi un mécanisme d'identification important, ainsi que le refoullement qui agit tjrs pdt la période de latence. Cette période se commence a la puberté, a l'entrée dans l'adolescence, ttes les pulsions ressorte aussi bien oral, annal, phalique, c parceque le corps change que les pulsions reviennent. Tt s'oriente vers une sexualité adulte et on parlera de pulsions génitale. A partir de ce mmt la, l'enfant peut chooisir des objets d'amour extérieur a sa famille, ce qui provoque une difficulté a s'autonomisé. L'ado prend un idole avec identification trop imptante mais svt courte.
On constaste deux phénomène, l'intellectualisation et un acetisme (renfermement sur sois meme).

B) A. FREUD

Anna Freud a été formé par son père et a travaillé sur les enfant pour voir comment ils marchaient. Elle aconstaté que la psychanalyse était imp pour eux, mais qu'il fallait l'observé. Elle développe le concept de disharmonie évolutive. Elle a bcp bossé ds les année 40.

C) Melanie Klein

Elle a bossé avec anna Freud et a donné naissance a une autre école. Elle développe une technique du jeux, la diff avec anna freud, c qu'elle pense que l'enfant peut etre analysé et ainsi accédé a son inconscient (par le jeu). Elle donnera des interprétation a l'enfant de ce qu'elle pense de son comportemennt. Elle retrouve les meme étapes que freud mais elle trouve des fantasme oeudipiens chez des enfants bcp plus tot, pour elle le surmoi s'organise aussi bcp plus tot. Elle pense que les fantasme sont très précoces chez l'enfant et que tt ces fantasme seront joués aucours du jeu. Elle montre que l'enfant a des pulsions de mort et de vie qui luttent entre elles. Elle décrit un mécanisme de clivage ou l'enfant sépar les bonnes et les mauvaises choses. L'enfant introjecte tous ce qui est bien et rejette le négatif, les frustrations, ... Description de l'identification projective.
Elle décrit deux étapes essentielles: la position paranoïde schizoïde et la position dépressive. La première est uune angoisse que les mauvais sentiment projetté a l'extérieur ne viennent le détruire, c pour ca qu'il a besoin de cliver. Si les bonnes expérience l'emporte, les bons sentiment vont l'emportés sur les mauvais, sur l'anoisse. Pour elle, c normale, c le dvt. La deuxieme position correspond a la réunion du bon et du mauvais aspect d'un meme objet, il verra qu'il n'est pas forcement menacé. Elle pense que l'enfant peut aimer sa mère comme un objet, mais il se culpabilise de tout ce qu'il a rejetté de négatif sur elle meme. Il y a un sentiment de perte lors de l'absence de sa mère. Cette période est une étape normale il y a une nouvelle mise en place de méca de défense.

D) R. Spitz:

Processus de maturation (système nerveux centrale, tt ce qui est de l'ordre biologique) en interraction avec tt ce qui est du dvt => processu de developpement.
Spitz fut l'un des premier a observé l'enfant pour décrire des étapes ds son dvt. Il a bct travaillé sur des enfant abandonné ou normaux. Il aparlé d'organisateurs psychique qui jalonne le parcours de l'enfant, il s'agit de 3 étapes essentielles: - le sourire: en réponse a un stimulus: un visage humain de face (a environs 3 mois), avant le bb est ds un stade d'indiférentiation et tt ce qui est psychique et sommatique, c la meme chose. Pas de distinction entre le ca et le moi. On montre que le bb est arrivé a un stade de différentiation entre lui et l'extérieur du bb. C la mise en place de premier ridiment du moi du bb, on a une réponse par le sourire.
- L'angoisse du 8eme mois, selon Spitz, le bb présente une manifestation anxieuse a la découverte d'un visage inconnu. Pour Spitz, c la preuve d'une élaboration du moi, il fait la distinction mére / non mère. Le bb construit donc son premier objet libidinal => la mère. Le bb réalise aussi que sa mère n'est pas présente, l'enfant peut a partir de la avoir de nouvelles relations entre les êtres.
- Apparition du "non": c le signe que l'enfant accede entr lui et l'objet maternel, l'enfant fait une totale distinctionentre lui et sa ère. C la prmière acquisition abstraite de l'enfant, nouvelle capacité de manier les symbole, nouvelle approche des obstacles.
C trois facteur corresponde a la base de la création du moi.

E) M. Mahler.

Elle s'attache a la relation mère enfant. Comment l'enfant arrive à devenir un individu autonome. Plusieurs phases:

- La phase symbiotique : fusion mère enfant qui donne a l'enfant un sentiment d'omnipotence, de toute puissance car dès qu'il demande, il a.

- Phase de séparation-individuation: c la séparation-individuation progressive de l'enfant par rapport a sa mère. L'enfant devient capable de séloigner ou se rapprocher de sa mère, l'enfant prend conscience que la mère est un objet ext, il évolue en dehors du périmètre, il a un objet d'amour investi et il intègre l'image maternelle en tant qu'objet d'amour.

F) D. Winnicott.

Il a une formation de pédiatre et devient psychanaliset. Pour lui un bb tt seul n'extiste pas et qu'il est totallement dépendant des sois qui lui sont prodigués par la mère, la communication matériel primaire: maladie noramle qui se passe chez la mère et lui donne les capacité de se mettre à la place de l'enfant et de répondre a ses besion (il se met en place lors des dernières semaines de grossesse). Winnicot dit que la mère guérit naturellement de cet état la et vas devenir une mère suffsament bonne, qui s'adapte au besion de l'enfant et lui accorde plus de satisfaction que de frustrations à l'enfant.
C la mère suffisament bonne qui fait passé du principe de plaisir a la réalité. Les trois role de la mère sont pour Winnicot:
- Holding: maintient physique et psychique de l'enfant
- handling: c t les soins que l'on apporte a l'enfant, échanges cuttané
- object presenting: capacité de la mère a présenter qqch a l'enfant au bon mmt, a mmt pécis ou celui-ci en a besoins (c impt).
Pour Winnicot, la mère suffisamment bonne dit que c bien qu'elle donne se sentiment de toute puissance, mais qu'il est bien aussi qu'elle est des défauts.
Il parle de l'aire et de l'objet transitionnel:
L'aire transitionnel: c un espace qui fait parti de l'extérieur et qui l'entour, c la que les contact avec sa mère et tt le monde extérieur existe.
L'objet transitionnel: c l'objet qui pour l'enfant est a la fois en lui et a l'extérieur de lui, il sert de défense contre l'angoisse, il acquiert une importance vitale. C un objet qui va servir aussi au défoulement (morsure, déchirement).
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#Posté le mercredi 17 octobre 2007 17:39

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